عَنْ أَبِي أُمَامَةَ قَالَ: سَمِعْتُ رَسُولَ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ يَقُولُ فِي خُطْبَتِهِ عَامَ حُجَّةِ الْوَدَاعِ: «لَا تُنْفِقُ امْرَأَةٌ شَيْئًا مِنْ بَيْتِ زَوْجِهَا إِلَّا بِإِذْنِ زَوْجِهَا» . قِيلَ: يَا رَسُولَ اللَّهِ وَلَا الطَّعَامَ؟ قَالَ: «ذَلِكَ أفضل أَمْوَالنَا» . رَوَاهُ التِّرْمِذِيّ
Traduction
Sa’d a dit que lorsque le messager de Dieu a prêté le serment d’allégeance aux femmes, une femme de haut rang qui semblait être l’une des femmes de Mudar s’est levée et a dit : « Prophète de Dieu, nous sommes dépendants de nos parents, de nos fils et de nos maris, alors avec quelle partie de leurs biens pouvons-nous faire ce que nous voulons ? » Il répondit : « De la nourriture fraîche que tu manges et que tu donnes en cadeau. » Abu Dawud l’a transmise.* L’arabe est kall, ce qui signifie
littéralement « un fardeau »