عَنْ عَمْرِو بْنِ شُعَيْبٍ عَنْ أَبِيهِ عَنْ جَدِّهِ أَنَّ النَّبِيَّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ بَعَثَ مُنَادِيًا فِي فِجَاجِ مَكَّةَ: «أَلَا إِنَّ صَدَقَةَ الْفِطْرِ وَاجِبَةٌ عَلَى كُلِّ مُسْلِمٍ ذَكَرٍ أَوْ أُنْثَى حُرٍّ أَوْ عَبْدٍ صَغِيرٍ أَوْ كَبِيرٍ مُدَّانِ مِنْ قَمْحٍ أَوْ سِوَاهُ أَوْ صَاع من طَعَام» . رَوَاهُ التِّرْمِذِيّ
Traduction

'Abdallah b. Tha’laba, ou Tha’laba b. 'Abdallah b. Abu Su’air* a rapporté sur l’autorité de son père que le messager de Dieu a dit : « Un sa' de blé ** doit être pris sur deux personnes, jeunes ou vieux, homme libre ou esclave, homme ou femme. Ceux d’entre vous qui sont riches seront purifiés par Dieu, et ceux d’entre vous qui sont pauvres verront plus que ce qu’ils ont donné en retour de Sa part. Abu Dawud l’a transmis.* Abu Dawud, zakat, 21 donne le nom comme ci-dessus, mais d’autres donnent souvent b. Su’air. Ibn 'Abd al-Barr dans Isti’ab et Ibn Hajar dans Tahdhib donnent b. Su’air, ajoutant que b. Abu Su’air se produit également.** L’émetteur n’est pas sûr du mot pour « blé » qui a été utilisé, alors il donne soit burr, soit qamh.