وَحَدَّثَنِي مُحَمَّدُ بْنُ عَبْدِ اللَّهِ بْنِ نُمَيْرٍ، وَزُهَيْرُ بْنُ حَرْبٍ، قَالاَ حَدَّثَنَا عَبْدُ اللَّهِ بْنُ يَزِيدَ، قَالَ حَدَّثَنِي سَعِيدُ بْنُ أَبِي أَيُّوبَ، قَالَ حَدَّثَنِي أَبُو هَانِئٍ، عَنْ أَبِي عُثْمَانَ، مُسْلِمِ بْنِ يَسَارٍ عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ، عَنْ رَسُولِ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم أَنَّهُ قَالَ ‏"‏ سَيَكُونُ فِي آخِرِ أُمَّتِي أُنَاسٌ يُحَدِّثُونَكُمْ مَا لَمْ تَسْمَعُوا أَنْتُمْ وَلاَ آبَاؤُكُمْ فَإِيَّاكُمْ وَإِيَّاهُمْ ‏"‏ ‏.‏
Traduction
Dāwud bin Amr aḍ-Ḍabbī nous a raconté, Nāfi' bin Umar nous a raconté, sur l’autorité d’Ibn Abī Mulaykah, il a dit

« J’ai écrit à Ibn Abbâs pour lui demander d’écrire quelque chose [concernant la connaissance] pour moi et il m’a beaucoup caché, et a dit : « Comme [s’il était] un enfant sincère, j’écrirai pour lui quelque chose de spécialement adapté à son statut en lui cachant ce qui ne lui serait pas bénéfique ». [Ibn Abī Mulaykah] a dit : « Alors [Ibn Abbās] a appelé le jugement d’Alī [bin Abī Tālib qui était un livre avec lequel Alī rendrait des verdicts à Kuffah], et il a commencé à écrire à partir de celui-ci [en ce qui concerne la demande d’Ibn Abī Mulaykah] et il est tombé sur quelque chose [qui ne convenait pas à la position d’Alī concernant la science des verdicts]. Alors [Ibn Abbâs] a dit : « Par Allah, Alî n’a pas rendu de jugement selon cela à moins qu’il ne se soit égaré ».