Les habitants (permanents) du Feu sont ceux qui y sont condamnés, et en vérité ils ne veulent ni mourir ni y vivre (al-Coran, xx. 47 ; lxxxvii. 13). Mais le peuple que le Feu allait affliger (temporairement) à cause de ses péchés, ou du moins c’est ce qu’a dit (le narrateur) « à cause de ses méfaits » Il les ferait mourir jusqu’à ce qu’ils soient transformés en charbon de bois. Alors on leur accorderait l’intercession et on les amènerait en groupes et on les répandrait sur les fleuves du Paradis, et alors on dirait : Ô habitants du Paradis, versez de l’eau sur eux ; alors ils germeraient comme la germination d’une graine dans le limon charrié par le déluge. Un homme parmi le peuple a dit : « (Il semble) que le Messager d’Allah habitait dans la steppe.