Allah, le Béni et le Très-Haut, rassemblerait les gens. Les croyants resteraient debout jusqu’à ce que le Paradis soit amené près d’eux. Ils venaient à Adam et disaient : Ô notre père, ouvre-nous le Paradis. Il disait : « Ce qui vous a chassés du Paradis, c’est le péché de votre père Adam. Je ne suis pas en mesure de le faire ; mieux vaut aller à mon fils Ibrahim, l’Ami d’Allah. Il (le Saint Prophète) a dit : Il (Ibrahim) dirait : Je ne suis pas en mesure de faire cela. J’avais été l’Ami (d’Allah) de l’au-delà, au-delà. tu ferais mieux de t’approcher de Moïse (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) avec qui Allah s’est entretenu. Ils venaient à Moïse (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui), mais il disait : Je ne suis pas en mesure de faire cela ; vous feriez mieux d’aller à Jésus, la Parole d’Allah et Son Esprit. Jésus (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) dirait : Je ne suis pas en mesure de faire cela. Ils venaient donc à Mohammed (ﷺ). Il lui serait alors permis (d’ouvrir la porte du Paradis). La fiabilité et la parenté seront envoyées, et ceux-ci se tiendront à droite et à gauche du Chemin et le premier d’entre vous passera avec (la rapidité) de l’éclair. Il (le narrateur) dit : « J’ai dit : Ô toi qui m’es beaucoup plus cher que mon père et ma mère, moi qui suis comme le passage de la foudre ? Il dit : « N’avez-vous pas vu la foudre, comment elle passe et revient en un clin d’œil ? Alors (ils passeraient) comme le passage du vent, puis comme le passage d’un oiseau, et la hâte des personnes se ferait selon leurs actes, et votre Apôtre se tiendrait sur le Chemin en disant : Sauvez, ô mon Seigneur, sauvez. (Le peuple continuerait à passer) jusqu’à ce que les actions des serviteurs s’épuisent, jusqu’à ce qu’il arrive un homme qui aura du mal à avancer (sur ce chemin) mais en rampant. Il (le narrateur) a dit : Et sur les côtés du Chemin, des crochets seraient suspendus, prêts à attraper quiconque serait requis (d’attraper). Il y aurait ceux qui réussiraient d’une manière ou d’une autre à parcourir ce Chemin et certains seraient entassés en Enfer. Par Celui qui tient dans la main la vie d’Abou Huraira, il lui faudra soixante-dix ans pour sonder la profondeur de l’enfer.