وَحَدَّثَنَا يَحْيَى بْنُ يَحْيَى، أَخْبَرَنَا يَزِيدُ بْنُ زُرَيْعٍ، عَنْ سَعِيدٍ الْجُرَيْرِيِّ، عَنْ عَبْدِ اللَّهِ بْنِ شَقِيقٍ، قَالَ قُلْتُ لِعَائِشَةَ هَلْ كَانَ النَّبِيُّ صلى الله عليه وسلم يُصَلِّي الضُّحَى قَالَتْ لاَ إِلاَّ أَنْ يَجِيءَ مِنْ مَغِيبِهِ ‏.‏
Traduction
Abou Murra, l’esclave affranchi d’Umm Hani, fille d’Abou Talib, a rapporté qu’Umm Hani disait

Je suis allé voir le Messager d’Allah (ﷺ) le jour de la conquête de la Mecque et je l’ai trouvé en train de prendre un bain, et Fatimah, sa fille, lui avait fourni de l’intimité à l’aide d’un linge. Je l’ai salué et il a dit : Qui est-elle ? J’ai dit : « C’est Umm Hani, fille d’Abou Talib. Il (le Saint Prophète) a dit : Salutations pour Umm Hani. Lorsqu’il eut terminé le bain, il se leva et observa huit rak’ahs enveloppées dans un seul linge. Quand il s’est retourné (après la prière), je lui ai dit : « Messager d’Allah, le fils de ma mère 'Ali b. Abu Talib va tuer une personne, Fulan b. Hubaira à qui j’ai donné sa protection. Sur ce, le Messager d’Allah (ﷺ) a dit : « Nous aussi nous avons accordé la protection à qui tu as accordé la protection, Ô Umm Hani. Umm Hani a dit : « C’était la prière du matin. »