Abou 'Abd al-Rahman, comment récitez-vous ce mot (alif) ou (ya) ? Le liriez-vous comme : min ma’in ghaira asin ou au min ma’in ghaira ghaira yasin. (Coran, xlvii. 15) ? Abdullah dit : « Vous avez mémorisé tout le Coran, à l’exception de celui-ci. Il a (encore) dit : « Je récite toutes les sourates mufassal dans une rak’ah. Là-dessus, 'Abdullah dit : (Vous avez dû le réciter) à la hâte comme si vous récitiez de la poésie. Véritablement. il y a des gens qui récitent le Coran, mais il ne descend pas au-delà de leurs clavicules. C’est (un fait avec le Coran) qu’il n’est bénéfique que lorsqu’il s’installe dans le cœur et y est profondément enraciné. Les meilleurs actes de prière sont l’inclination et la prosternation. Je suis tout à fait conscient des occasions où le Messager d’Allah (ﷺ) a combiné deux sourates dans chaque rak’ah. 'Abdullah se leva alors et sortit avec 'Alqama suivant ses traces. Il a dit qu’Ibn Numair lui avait dit que la narration était comme ça : « Une personne appartenant à Banu Bajila est venue à 'Abdullah », et il n’a pas mentionné (le nom de) Nahik b. Sinan.