حَدَّثَنَا يَحْيَى بْنُ يَحْيَى، قَالَ قَرَأْتُ عَلَى مَالِكٍ عَنِ ابْنِ شِهَابٍ، عَنْ عُرْوَةَ بْنِ الزُّبَيْرِ، عَنْ عَائِشَةَ، أَنَّهَا أَخْبَرَتْهُ أَنَّ أَفْلَحَ - أَخَا أَبِي الْقُعَيْسِ - جَاءَ يَسْتَأْذِنُ عَلَيْهَا وَهُوَ عَمُّهَا مِنَ الرَّضَاعَةِ بَعْدَ أَنْ أُنْزِلَ الْحِجَابُ قَالَتْ فَأَبَيْتُ أَنْ آذَنَ لَهُ فَلَمَّا جَاءَ رَسُولُ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم أَخْبَرْتُهُ بِالَّذِي صَنَعْتُ فَأَمَرَنِي أَنْ آذَنَ لَهُ عَلَىَّ .
                                
                            Traduction
                        
                                    'A’isha (qu’Allah l’agrée) a rapporté que son oncle adoptif, qui s’appelait Aflah, lui avait demandé la permission (d’entrer dans la maison), mais qu’elle s’était retirée de lui et en avait informé le Messager d’Allah (ﷺ) qui lui avait dit :
                                
                                Ne le voyez pas voiler, car il est Mahram (celui avec qui le mariage ne peut être contracté) à cause de l’accueil, comme on est Mahram à cause de la consanguinité.