حَدَّثَنَا عَبْدُ اللَّهِ بْنُ مَسْلَمَةَ بْنِ قَعْنَبٍ، وَقُتَيْبَةُ بْنُ سَعِيدٍ، قَالاَ حَدَّثَنَا مَالِكٌ، ح وَحَدَّثَنَا يَحْيَى بْنُ يَحْيَى، - وَاللَّفْظُ لَهُ - قَالَ قَرَأْتُ عَلَى مَالِكٍ عَنْ نَافِعٍ عَنِ ابْنِ عُمَرَ أَنَّ رَسُولَ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم فَرَضَ زَكَاةَ الْفِطْرِ مِنْ رَمَضَانَ عَلَى النَّاسِ صَاعًا مِنْ تَمْرٍ أَوْ صَاعًا مِنْ شَعِيرٍ عَلَى كُلِّ حُرٍّ أَوْ عَبْدٍ ذَكَرٍ أَوْ أُنْثَى مِنَ الْمُسْلِمِينَ ‏.‏
Traduction
Abd Sa’id al-Khudri a rapporté

Nous, au nom de chaque jeune ou vieux, homme libre ou esclave (parmi nous), avions l’habitude de prélever du vivant du Messager d’Allah (ﷺ) comme Zakat de Fitr un sa' de grain, ou un sa' de fromage ou un sa' de raisins secs. Et nous avons continué à les sortir jusqu’à ce que Mu’awiya b. Abu Sufyan vienne à nous pour le pèlerinage ou 'Umra, et s’est adressé aux gens sur la chaire et leur a dit : Je vois que deux mudds de zakat sur le blé (rouge) de Syrie sont égaux à un sa' de dattes. Alors le peuple l’a accepté. Mais Abou Sa’id dit : « Je continuerai à sortir comme je le faisais auparavant (avant, c’est-à-dire un sa') tant que je vivrai.