حَدَّثَنَا يَحْيَى بْنُ أَيُّوبَ، وَقُتَيْبَةُ بْنُ سَعِيدٍ، وَعَلِيُّ بْنُ حُجْرٍ، قَالُوا حَدَّثَنَا إِسْمَاعِيلُ، - يَعْنُونَ ابْنَ جَعْفَرٍ - عَنْ حُمَيْدٍ، قَالَ سُئِلَ أَنَسُ بْنُ مَالِكٍ عَنْ كَسْبِ الْحَجَّامِ، فَقَالَ احْتَجَمَ رَسُولُ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم حَجَمَهُ أَبُو طَيْبَةَ فَأَمَرَ لَهُ بِصَاعَيْنِ مِنْ طَعَامٍ وَكَلَّمَ أَهْلَهُ فَوَضَعُوا عَنْهُ مِنْ خَرَاجِهِ وَقَالَ ‏"‏ إِنَّ أَفْضَلَ مَا تَدَاوَيْتُمْ بِهِ الْحِجَامَةُ أَوْ هُوَ مِنْ أَمْثَلِ دَوَائِكُمْ ‏"‏ ‏.‏
Traduction
Il est rapporté sur l’autorité d’Humaid qu’Anas b. Malik a été interrogé sur les revenus du cupper. Dire

Le Messager d’Allah (ﷺ) s’est mis en coupe. Son serviteur était Abu Taiba et il (le Saint Prophète) a ordonné de lui donner deux sa’s de maïs. Il (le Saint Prophète) s’est entretenu avec les membres de sa famille et ils lui ont allégé le fardeau du Kharaj (impôt) (c’est-à-dire qu’ils ont fait remis- tion dans les accusations de leur propre chef). Il (l’Apôtre d’Allah) a dit : « Le meilleur (traitement) que tu prends est les ventouses, ou c’est le meilleur de tes traitements.