حَدَّثَنَا أَحْمَدُ بْنُ يُونُسَ، حَدَّثَنَا زُهَيْرٌ، حَدَّثَنَا أَبُو الزُّبَيْرِ، عَنْ جَابِرٍ، ح
وَحَدَّثَنَا يَحْيَى بْنُ يَحْيَى، أَخْبَرَنَا أَبُو خَيْثَمَةَ، عَنْ أَبِي الزُّبَيْرِ، عَنْ جَابِرٍ، قَالَ قَالَ رَسُولُ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم " مَنْ كَانَ لَهُ شَرِيكٌ فِي رَبْعَةٍ أَوْ نَخْلٍ فَلَيْسَ لَهُ أَنْ يَبِيعَ حَتَّى يُؤْذِنَ شَرِيكَهُ فَإِنْ رَضِيَ أَخَذَ وَإِنْ كَرِهَ تَرَكَ " .
Traduction
Jabir b. 'Abdullah (qu’Allah soit satisfait d’eux) a rapporté que le Messager d’Allah (ﷺ) a dit
Il y a préemption dans tout ce qui est partagé, qu’il s’agisse d’un terrain, d’une habitation ou d’un jardin. Il n’est pas convenable de le vendre avant d’en avoir informé son associé ; il peut s’y mettre, ou l’abandonner ; et s’il (l’associé qui a l’intention de vendre sa part) ne le fait pas, alors son partenaire a le plus grand droit sur celle-ci jusqu’à ce qu’il le lui permette.