حَدَّثَنَا أَبُو بَكْرِ بْنُ أَبِي شَيْبَةَ، وَعَمْرٌو النَّاقِدُ، وَزُهَيْرُ بْنُ حَرْبٍ، قَالُوا حَدَّثَنَا سُفْيَانُ بْنُ عُيَيْنَةَ، عَنِ الزُّهْرِيِّ، عَنْ عُرْوَةَ، عَنْ عَائِشَةَ، أَنَّ النَّبِيَّ صلى الله عليه وسلم كَانَ يُصَلِّي مِنَ اللَّيْلِ وَأَنَا مُعْتَرِضَةٌ بَيْنَهُ وَبَيْنَ الْقِبْلَةِ كَاعْتِرَاضِ الْجِنَازَةِ .
Traduction
Masruq a rapporté
Il a été mentionné avant 'A’isha que la prière est invalidée (en cas de décès) d’un chien, d’un âne et d’une femme (devant l’adorateur, lorsqu’il n’est pas contrôlé). Là-dessus, 'Aïcha dit : « Tu nous as comparés aux ânes et aux chiens. Par Allah, j’ai vu le Messager d’Allah (ﷺdire la prière pendant que j’étais allongé sur le lit s’interposant entre lui et la Qibla. Quand j’en ai ressenti le besoin, je n’ai pas aimé me mettre en avant (du Saint Prophète) et perturber le Messager d’Allah (ﷺ) et je suis sorti tranquillement de sous ses jambes (c’est-à-dire du lit).