حَدَّثَنَا يَحْيَى بْنُ يَحْيَى، حَدَّثَنَا يَزِيدُ بْنُ زُرَيْعٍ، عَنْ خَالِدٍ الْحَذَّاءِ، عَنْ عَبْدِ الرَّحْمَنِ،
بْنِ أَبِي بَكْرَةَ عَنْ أَبِيهِ، قَالَ مَدَحَ رَجُلٌ رَجُلاً عِنْدَ النَّبِيِّ صلى الله عليه وسلم - قَالَ -
فَقَالَ " وَيْحَكَ قَطَعْتَ عُنُقَ صَاحِبِكَ قَطَعْتَ عُنُقَ صَاحِبِكَ " . مِرَارًا " إِذَا كَانَ أَحَدُكُمْ
مَادِحًا صَاحِبَهُ لاَ مَحَالَةَ فَلْيَقُلْ أَحْسِبُ فُلاَنًا وَاللَّهُ حَسِيبُهُ وَلاَ أُزَكِّي عَلَى اللَّهِ أَحَدًا أَحْسِبُهُ
إِنْ كَانَ يَعْلَمُ ذَاكَ كَذَا وَكَذَا " .
Traduction
«Abd al-Rahman b. Abu Bakra a rapporté à l'autorité de son père qu'une personne avait félicité une autre personne en présence de l'apôtre d'Allah (ﷺ), après quoi il a dit
Malheur à toi, tu as cassé le cou de ton ami, tu as cassé le cou de ton ami, il l'a dit deux fois. Si l'un de vous doit louer son ami, il devrait dire: je pense (lui d'être) donc et Allah le sait bien et je ne connais pas le secret du cœur et Allah connaît la fin destinée, et je ne peux pas témoigner Sa pureté contre Allah mais (il semble) en l'être ou tel.