وَحَدَّثَنَا يَحْيَى بْنُ يَحْيَى، قَالَ قَرَأْتُ عَلَى مَالِكٍ عَنْ نَافِعٍ، عَنِ ابْنِ عُمَرَ، عَنْ عَائِشَةَ، أَنَّهَا أَرَادَتْ أَنْ تَشْتَرِيَ، جَارِيَةً تُعْتِقُهَا فَقَالَ أَهْلُهَا نَبِيعُكِهَا عَلَى أَنَّ وَلاَءَهَا لَنَا ‏.‏ فَذَكَرَتْ ذَلِكَ لِرَسُولِ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم فَقَالَ ‏"‏ لاَ يَمْنَعُكِ ذَلِكَ فَإِنَّمَا الْوَلاَءُ لِمَنْ أَعْتَقَ ‏"‏‏.‏
Traduction
Hisham b. 'Urwa a rapporté un hadith comme celui-ci avec la même chaîne de transmetteurs, sauf (avec ce changement) que dans le hadith transmis sur l’autorité de jartr (les mots sont)

Son mari (celui de Barira) était esclave, alors le Messager d’Allah (ﷺ) lui a donné l’option (soit de conserver sa relation matrimoniale avec son mari, soit de la rompre). Elle a choisi de rompre (et de s’assurer la liberté même de l’alliance matrimoniale). Et s’il avait été libre, il ne lui aurait pas donné le choix. Dans le hadith rapporté par l’autorité (de cette chaîne de transmetteurs) on ne trouve pas ces mots : Amma ba’du.