حَدَّثَنَا يَحْيَى بْنُ يَحْيَى، قَالَ قَرَأْتُ عَلَى مَالِكٍ عَنِ ابْنِ شِهَابٍ، عَنْ عُرْوَةَ، عَنْ عَمْرَةَ، عَنْ عَائِشَةَ، قَالَتْ كَانَ النَّبِيُّ صلى الله عليه وسلم إِذَا اعْتَكَفَ يُدْنِي إِلَىَّ رَأْسَهُ فَأُرَجِّلُهُ وَكَانَ لاَ يَدْخُلُ الْبَيْتَ إِلاَّ لِحَاجَةِ الإِنْسَانِ ‏.‏
Traduction
'Amra, fille d’Abd al-Rahman, a rapporté

'A’isha, épouse du Messager d’Allah (ﷺ), a observé : « Quand j’étais (en I’tikaf), je suis entrée dans la maison à l’appel de la nature, et en passant, je me suis enquis de la santé des malades (dans la famille), et quand le Messager d’Allah (ﷺ) était (en I’tikaf), il a tendu la tête vers moi. pendant qu’il était lui-même à la mosquée, et que je lui peignais les cheveux ; et il n’entrait dans la maison que pour l’appel de la nature tant qu’il était à I’tikaf ; et Ibn Rumh a déclaré : « Tant qu’ils (le Prophète et ses épouses) étaient parmi les observateurs de I’tikaf.