حَدَّثَنِي زُهَيْرُ بْنُ حَرْبٍ، وَعُبَيْدُ اللَّهِ بْنُ سَعِيدٍ، وَمُحَمَّدُ بْنُ الْمُثَنَّى، كُلُّهُمْ عَنْ يَحْيَى الْقَطَّانِ، - قَالَ زُهَيْرٌ حَدَّثَنَا يَحْيَى بْنُ سَعِيدٍ، - عَنْ عُبَيْدِ اللَّهِ، قَالَ أَخْبَرَنِي نَافِعٌ، عَنِ ابْنِ عُمَرَ، أَنَّ النَّبِيَّ صلى الله عليه وسلم كَانَ يَقْرَأُ الْقُرْآنَ فَيَقْرَأُ سُورَةً فِيهَا سَجْدَةٌ فَيَسْجُدُ وَنَسْجُدُ مَعَهُ حَتَّى مَا يَجِدُ بَعْضُنَا مَوْضِعًا لِمَكَانِ جَبْهَتِهِ .
Traduction
Abdullah (né 'Umar) a rapporté
Le Messager d’Allah (ﷺ) a récité (Sourate) al Najm et s’est prosterné pendant sa récitation et tous ceux qui étaient avec lui se sont également prosternés, sauf un vieil homme qui a pris une poignée de cailloux ou de poussière dans sa paume et l’a portée à son front et a dit : « Cela me suffit. » Abdullah a dit : « J’ai vu qu’il a été tué plus tard dans un état d’incrédulité.