حَدَّثَنِي أَبُو كَامِلٍ، فُضَيْلُ بْنُ حُسَيْنٍ الْجَحْدَرِيُّ حَدَّثَنَا أَبُو عَوَانَةَ، عَنْ فِرَاسٍ، عَنْ ذَكْوَانَ أَبِي صَالِحٍ، عَنْ زَاذَانَ أَبِي عُمَرَ، قَالَ أَتَيْتُ ابْنَ عُمَرَ وَقَدْ أَعْتَقَ مَمْلُوكًا - قَالَ - فَأَخَذَ مِنَ الأَرْضِ عُودًا أَوْ شَيْئًا فَقَالَ مَا فِيهِ مِنَ الأَجْرِ مَا يَسْوَى هَذَا إِلاَّ أَنِّي سَمِعْتُ رَسُولَ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم يَقُولُ " مَنْ لَطَمَ مَمْلُوكَهُ أَوْ ضَرَبَهُ فَكَفَّارَتُهُ أَنْ يُعْتِقَهُ ".
Traduction
Zadhan a rapporté qu’Ibn Umar a appelé son esclave et qu’il a trouvé des marques (de coups) sur son dos. Il lui dit
Je t’ai causé de la douleur. Il a dit : Non. Mais il (Ibn Omar) a dit : « Vous êtes libres. Il s’empara alors de quelque chose de la terre et dit : Il n’y a pas de récompense pour moi, même pour un poids égal à celui-ci. J’ai entendu le Messager d’Allah (ﷺ) dire : « Celui qui bat un esclave sans offense reconnaissable de sa part ou le gifle (sans aucune faute grave), alors l’expiation est qu’il doit le libérer.