حَدَّثَنِي أَبُو كَامِلٍ، فُضَيْلُ بْنُ حُسَيْنٍ الْجَحْدَرِيُّ حَدَّثَنَا أَبُو عَوَانَةَ، عَنْ فِرَاسٍ، عَنْ ذَكْوَانَ أَبِي صَالِحٍ، عَنْ زَاذَانَ أَبِي عُمَرَ، قَالَ أَتَيْتُ ابْنَ عُمَرَ وَقَدْ أَعْتَقَ مَمْلُوكًا - قَالَ - فَأَخَذَ مِنَ الأَرْضِ عُودًا أَوْ شَيْئًا فَقَالَ مَا فِيهِ مِنَ الأَجْرِ مَا يَسْوَى هَذَا إِلاَّ أَنِّي سَمِعْتُ رَسُولَ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم يَقُولُ ‏"‏ مَنْ لَطَمَ مَمْلُوكَهُ أَوْ ضَرَبَهُ فَكَفَّارَتُهُ أَنْ يُعْتِقَهُ ‏"‏.
Traduction
Suwaid b. Muqarrin rapporta qu’il avait une esclave et qu’une personne (l’un des membres de la famille) l’avait giflée, sur quoi Suwaid lui avait dit

Ne savez-vous pas qu’il est interdit de frapper le visage. Il dit : « Vous voyez, j’étais le septième parmi mes frères du vivant du Messager d’Allah (ﷺ), et nous n’avions qu’un seul serviteur. L’un d’entre nous s’est mis en colère et l’a giflé. Sur ce, le Messager d’Allah (ﷺ) nous a ordonné de le libérer.