وَحَدَّثَنَا يَحْيَى بْنُ يَحْيَى، وَمُحَمَّدُ بْنُ رُمْحٍ، قَالاَ أَخْبَرَنَا اللَّيْثُ، ح وَحَدَّثَنَا قُتَيْبَةُ، حَدَّثَنَا لَيْثٌ، عَنِ ابْنِ شِهَابٍ، عَنْ عُرْوَةَ بْنِ الزُّبَيْرِ، وَعَمْرَةَ بِنْتِ عَبْدِ الرَّحْمَنِ، أَنَّ عَائِشَةَ، قَالَتْ كَانَ رَسُولُ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم يُهْدِي مِنَ الْمَدِينَةِ فَأَفْتِلُ قَلاَئِدَ هَدْيِهِ ثُمَّ لاَ يَجْتَنِبُ شَيْئًا مِمَّا يَجْتَنِبُ الْمُحْرِمُ .
Traduction
'Amra, fille d’Abd al-Rahman, a rapporté qu’Ibn Ziyad avait écrit à 'A’isha (qu’Allah l’agrée) que 'Abdullah b. Abbas (qu’Allah soit satisfait d’eux) a mal dit que celui qui a envoyé un animal sacrificiel (à la Mecque) pour lui a été interdit ce qui est interdit à un pèlerin (dans l’état d’Ihram) jusqu’à ce que l’animal soit sacrifié, j’ai moi-même envoyé mon animal sacrificiel (à la Mecque), Alors écrivez-moi votre avis. Amra a rapporté 'Aïcha (qu’Allah l’agrée) disant
Ce n’est pas comme l’avait affirmé Ibn 'Abbas (qu’Allah l’agrée), car j’ai tissé de mes propres mains les guirlandes pour les animaux sacrificiels du Messager d’Allah (ﷺ). Le Messager d’Allah (ﷺ) les a alors guirlandes de ses propres mains, puis les a envoyées avec mon père, et rien n’a été interdit au Messager d’Allah (ﷺ) qui lui avait été rendu licite par Allah jusqu’à ce que les animaux aient été sacrifiés.