أَخْبَرَنَا أَبُو صَالِحٍ، مُحَمَّدُ بْنُ زُنْبُورٍ قَالَ حَدَّثَنَا ابْنُ أَبِي حَازِمٍ، عَنْ يَزِيدَ بْنِ عَبْدِ اللَّهِ، عَنْ أَبِي بَكْرِ بْنِ مُحَمَّدٍ، عَنْ عَمْرَةَ، عَنْ عَائِشَةَ، أَنَّهَا سَمِعَتْ رَسُولَ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم يَقُولُ ‏"‏ لاَ يُقْطَعُ السَّارِقُ إِلاَّ فِي رُبُعِ دِينَارٍ فَصَاعِدًا ‏"‏ ‏.‏
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Il a été rapporté que 'Ata' a dit

« Le moins pour lequel la main d’un voleur doit être coupée, c’est le prix d’un bouclier. Et le prix d’un bouclier à cette époque était de dix dirhams. (Hasan) Abou 'Abdur-Rahman (An-Nasai) a dit : « Ayman, celui dont les récits ont précédé, je ne pense pas qu’il était un Compagnon, et un autre hadith a été rapporté de lui qui prouve ce que nous avons dit :