أَخْبَرَنَا سُوَيْدٌ، قَالَ أَنْبَأَنَا عَبْدُ اللَّهِ، عَنْ أَبِي يَعْفُورٍ السَّلَمِيِّ، عَنْ أَبِي ثَابِتٍ الثَّعْلَبِيِّ، قَالَ كُنْتُ عِنْدَ ابْنِ عَبَّاسٍ فَجَاءَهُ رَجُلٌ فَسَأَلَهُ عَنِ الْعَصِيرِ، فَقَالَ اشْرَبْهُ مَا كَانَ طَرِيًّا ‏.‏ قَالَ إِنِّي طَبَخْتُ شَرَابًا وَفِي نَفْسِي مِنْهُ ‏.‏ قَالَ أَكُنْتَ شَارِبَهُ قَبْلَ أَنْ تَطْبُخَهُ قَالَ لاَ ‏.‏ قَالَ فَإِنَّ النَّارَ لاَ تُحِلُّ شَيْئًا قَدْ حَرُمَ ‏.‏
Traduction
Il a été rapporté qu’Abou Thabit Ath-Tha’labi a dit

« J’étais avec Ibn 'Abbas quand un homme est venu le voir et lui a demandé ce qu’il pensait du jus. Il dit : « Buvez ce qui est frais. » Il a dit : « J’ai fait cuire une boisson sur le feu et je n’en suis pas sûr. » Il a dit : « L’avez-vous bu avant de le cuisiner ? » Il a dit : « Non. » Il a dit : « Le feu ne rend pas permis ce qui est interdit. » (Sahih Mawquf)