« Les chevaux peuvent apporter une récompense à un homme, ou ils peuvent être un moyen de protection, ou ils peuvent être un fardeau (du péché). Quant à ce qui rapporte une récompense, c’est l’homme qui le garde pour le sentier d’Allah et l’attache avec une longue corde dans un pâturage ou un jardin. Tout ce qu’il mange ou boit dans ce pâturage ou ce jardin comptera comme de bonnes actions pour lui. S’il rompt sa corde et saute par-dessus une ou deux collines, ses pas » et selon le hadith d’Al-Harith, « ses excréments compteront pour lui comme de bonnes actions. S’il passe près d’une rivière et qu’il y boit, même si (son propriétaire) n’avait pas l’intention de lui donner de l’eau de cette rivière, cela lui apportera aussi une récompense. Si un homme garde un cheval pour gagner sa vie de manière indépendante et éviter de demander de l’aide aux autres, et qu’il n’oublie pas son devoir envers Allah en ce qui concerne leur cou et leur dos, alors ils seront pour lui un moyen de protection. Si un homme garde des chevaux par orgueil, pour se montrer aux autres et pour combattre les musulmans, alors ce sera un fardeau (de péché) pour lui. Le Prophète a été interrogé sur les ânes et il a dit : « Rien ne m’a été révélé à leur sujet, sauf ce verset qui a une signification complète : 'Ainsi quiconque fait un bien égal au poids d’un atome (ou d’une petite fourmi) le verra. Et quiconque fait un mal égal au poids d’un atome (ou d’une petite fourmi) le verra.