أَخْبَرَنَا مُحَمَّدُ بْنُ الْعَلاَءِ، قَالَ حَدَّثَنَا أَبُو مُعَاوِيَةَ، عَنِ الأَعْمَشِ، عَنْ عَمْرِو بْنِ مُرَّةَ، عَنْ سَالِمِ بْنِ أَبِي الْجَعْدِ، عَنْ أَبِي بَرْزَةَ، قَالَ تَغَيَّظَ أَبُو بَكْرٍ عَلَى رَجُلٍ فَقُلْتُ مَنْ هُوَ يَا خَلِيفَةَ رَسُولِ اللَّهِ قَالَ لِمَ قُلْتُ لأَضْرِبَ عُنُقَهُ إِنْ أَمَرْتَنِي بِذَلِكَ . قَالَ أَفَكُنْتَ فَاعِلاً قُلْتُ نَعَمْ . قَالَ فَوَاللَّهِ لأَذْهَبَ عِظَمُ كَلِمَتِي الَّتِي قُلْتُ غَضَبَهُ ثُمَّ قَالَ مَا كَانَ لأَحَدٍ بَعْدَ مُحَمَّدٍ صلى الله عليه وسلم .
Traduction
D’après Abou Nadra, Abou Barzah a dit :
« Abou Bakr s’est mis très en colère contre un homme, à tel point que sa couleur a changé. J’ai dit : « Ô Khalifa du Messager d’Allah, si tu me le dis, je lui frapperai le cou. » C’était comme si de l’eau froide avait été versée sur lui et il est devenu calme. Il dit : « Que ta mère soit privée de toi, Abou Barza ! Ce n’est pas pour quiconque après le Messager d’Allah [SAW].