« Lorsque le Prophète d’Allah s’asseyait, certains de ses compagnons s’asseyaient avec lui. Parmi eux, il y avait un homme qui avait un petit fils qui avait l’habitude de venir à lui par derrière, et il le faisait asseoir devant lui. Il (l’enfant) est mort, et l’homme a cessé d’assister au cercle parce que cela lui rappelait son fils et le rendait triste. Le Prophète l’a manqué et a dit : « Pourquoi est-ce que je ne vois pas untel ? » Ils dirent : « Ô Messager d’Allah, son fils que tu as vu est mort. » Le Prophète l’a rencontré et lui a posé des questions sur son fils, et il lui a dit qu’il était mort. Il présenta ses condoléances et dit : « Ô fils, qui aimerais-tu le mieux, jouir de sa compagnie toute ta vie, ou venir à l’une des portes du Paradis le Jour de la Résurrection, et découvrir qu’il est arrivé là avant toi, et qu’il t’ouvre la porte ? » Il dit : « Ô Prophète d’Allah ! C’est à moi qu’il arrive à la porte du Paradis avant moi et qu’il me l’ouvre. Il a dit : 'Tu l’auras.'