أَخْبَرَنَا سُوَيْدٌ، قَالَ حَدَّثَنَا عَبْدُ اللَّهِ، عَنْ سَلاَّمِ بْنِ أَبِي مُطِيعٍ الدِّمَشْقِيِّ، عَنْ أَيُّوبَ، عَنْ أَبِي قِلاَبَةَ، عَنْ عَبْدِ اللَّهِ بْنِ يَزِيدَ، رَضِيعِ عَائِشَةَ عَنْ عَائِشَةَ، رَضِيَ اللَّهُ عَنْهَا عَنِ النَّبِيِّ صلى الله عليه وسلم قَالَ ‏"‏ مَا مِنْ مَيِّتٍ يُصَلِّي عَلَيْهِ أُمَّةٌ مِنَ الْمُسْلِمِينَ يَبْلُغُونَ أَنْ يَكُونُوا مِائَةً يَشْفَعُونَ إِلاَّ شُفِّعُوا فِيهِ ‏"‏ ‏.‏ قَالَ سَلاَّمٌ فَحَدَّثْتُ بِهِ شُعَيْبَ بْنَ الْحَبْحَابِ فَقَالَ حَدَّثَنِي بِهِ أَنَسُ بْنُ مَالِكٍ عَنِ النَّبِيِّ صلى الله عليه وسلم ‏.‏
Traduction
Abou Bakkar Al-Hakam bin Farrukh a dit

« Abou Al-Malih nous a guidés dans l’accomplissement de la prière funéraire et nous avons pensé qu’il avait dit le Takbir, mais il s’est tourné vers nous et a dit : « Alignez-vous et intercédez correctement. » Abou Al-Malih a dit : « Abdullah – c’est-à-dire Ibn Salit – m’a rapporté que l’une des mères des croyants, Maimunah, l’épouse du Prophète, a dit : « Le Prophète m’a dit : Il n’y a pas de défunt pour lequel un groupe de personnes offre la prière funéraire, mais leur intercession pour lui sera acceptée. » J’ai demandé à Abou Al-Malih ce qu’il en était et il m’a répondu : « Quarante. »