أَخْبَرَنَا مُحَمَّدُ بْنُ سَلَمَةَ، وَالْحَارِثُ بْنُ مِسْكِينٍ، قِرَاءَةً عَلَيْهِ وَأَنَا أَسْمَعُ، - وَاللَّفْظُ لِمُحَمَّدٍ - قَالاَ أَنْبَأَنَا ابْنُ الْقَاسِمِ، عَنْ مَالِكٍ، عَنْ هِشَامِ بْنِ عُرْوَةَ، عَنْ أَبِيهِ، عَنِ الْمِسْوَرِ بْنِ مَخْرَمَةَ، أَنَّ سُبَيْعَةَ الأَسْلَمِيَّةَ، نُفِسَتْ بَعْدَ وَفَاةِ زَوْجِهَا بِلَيَالٍ فَجَاءَتْ رَسُولَ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم فَاسْتَأْذَنَتْ أَنْ تَنْكِحَ فَأَذِنَ لَهَا فَنَكَحَتْ ‏.‏
Traduction
D’après Sulaiman bin Yasar, Abdullah bin 'Abbas et Abu Salamah bin 'Abdur-Rahman étaient en désaccord au sujet d’une femme qui avait accouché un jour après la mort de son mari. 'Abdullah bin 'Abbas a dit

« (Elle devrait attendre) la plus longue des deux périodes. » Abou Salamah a dit : « Quand elle a accouché, il lui est permis de se remarier. » Abu Hurairah vint et dit : « Je suis d’accord avec le fils de mon frère », c’est-à-dire Abu Salamah bin 'Abdur-Rahman. Ils envoyèrent Kouraïb, l’esclave affranchi d’Ibn 'Abbas, à Umm Salamah pour l’interroger à ce sujet. Il revint vers eux et leur dit qu’elle avait dit : « Subai’ah a accouché un jour après la mort de son mari », elle en a parlé au Messager d’Allah et il a dit : « Il vous est devenu permis de vous marier. »