أَخْبَرَنَا مُحَمَّدُ بْنُ سَلَمَةَ، وَالْحَارِثُ بْنُ مِسْكِينٍ، قِرَاءَةً عَلَيْهِ وَأَنَا أَسْمَعُ، - وَاللَّفْظُ لِمُحَمَّدٍ - قَالاَ أَنْبَأَنَا ابْنُ الْقَاسِمِ، عَنْ مَالِكٍ، عَنْ هِشَامِ بْنِ عُرْوَةَ، عَنْ أَبِيهِ، عَنِ الْمِسْوَرِ بْنِ مَخْرَمَةَ، أَنَّ سُبَيْعَةَ الأَسْلَمِيَّةَ، نُفِسَتْ بَعْدَ وَفَاةِ زَوْجِهَا بِلَيَالٍ فَجَاءَتْ رَسُولَ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم فَاسْتَأْذَنَتْ أَنْ تَنْكِحَ فَأَذِنَ لَهَا فَنَكَحَتْ ‏.‏
Traduction
Il a été rapporté d’après Abou Salamah bin 'Abdur-Rahman que Zainab bint Abi Salamah lui a dit, de sa mère, Umm Salamah, l’épouse du Prophète

« Qu’une femme d’Aslam, qui s’appelait Subai’ah, a été mariée à son mari, et qu’il est mort alors qu’elle était enceinte. Abu As-Sanabil bin Ba’kak l’a demandée en mariage, mais elle a refusé de l’épouser. Il a dit : « Vous ne pouvez pas vous marier avant d’avoir observé 'Iddah pendant la plus longue des deux périodes.' Une vingtaine de jours plus tard, elle a accouché. Elle est allée voir le Messager d’Allah et il lui a dit : « Marie-toi. »