أَخْبَرَنَا مُحَمَّدُ بْنُ سَلَمَةَ، وَالْحَارِثُ بْنُ مِسْكِينٍ، قِرَاءَةً عَلَيْهِ وَأَنَا أَسْمَعُ، - وَاللَّفْظُ لِمُحَمَّدٍ - قَالاَ أَنْبَأَنَا ابْنُ الْقَاسِمِ، عَنْ مَالِكٍ، عَنْ هِشَامِ بْنِ عُرْوَةَ، عَنْ أَبِيهِ، عَنِ الْمِسْوَرِ بْنِ مَخْرَمَةَ، أَنَّ سُبَيْعَةَ الأَسْلَمِيَّةَ، نُفِسَتْ بَعْدَ وَفَاةِ زَوْجِهَا بِلَيَالٍ فَجَاءَتْ رَسُولَ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم فَاسْتَأْذَنَتْ أَنْ تَنْكِحَ فَأَذِنَ لَهَا فَنَكَحَتْ .
Traduction
D’après 'Alqamah bin Qais, Ibn Mas’ud a dit :
« Celui qui veut, je le rencontrerai et discuterai avec lui, et j’invoquerai la malédiction d’Allah sur ceux qui mentent. Le verset : « Et pour celles qui sont enceintes (qu’elles soient divorcées ou que leurs maris soient morts), leur 'Iddah (période prescrite) est jusqu’à ce qu’elles déposent leur fardeau.' n’a été révélé qu’après le verset sur les femmes dont les maris meurent. « Quand une femme dont le mari est mort accouche, il lui devient permis de se marier. » C’est ce qu’a dit Maïmun (l’un des narrateurs).