أَخْبَرَنَا قُتَيْبَةُ، قَالَ أَنْبَأَنَا بَكْرٌ، - وَهُوَ ابْنُ مُضَرَ - عَنْ عَمْرِو بْنِ الْحَارِثِ، عَنْ بُكَيْرٍ، عَنْ يَزِيدَ، مَوْلَى سَلَمَةَ بْنِ الأَكْوَعِ عَنْ سَلَمَةَ بْنِ الأَكْوَعِ، قَالَ لَمَّا نَزَلَتْ هَذِهِ الآيَةُ ‏{‏ وَعَلَى الَّذِينَ يُطِيقُونَهُ فِدْيَةٌ طَعَامُ مِسْكِينٍ ‏}‏ كَانَ مَنْ أَرَادَ مِنَّا أَنْ يُفْطِرَ وَيَفْتَدِيَ حَتَّى نَزَلَتِ الآيَةُ الَّتِي بَعْدَهَا فَنَسَخَتْهَا ‏.‏
Traduction
Il a été rapporté d’après 'Ata d’après Ibn 'Abbas

concernant ce verset : « Et quant à ceux qui peuvent jeûner avec difficulté, (le choix de jeûner ou) de nourrir un Miskin (pauvre) (pour chaque jour) ». Que pour ceux qui peuvent jeûner avec difficulté, cela signifie qu’ils le trouvent difficile ; nourrir un Miskin, c’est nourrir une personne pauvre pour chaque jour. Mais celui qui fait le bien de son propre gré signifie nourrir un autre pauvre. Ce n’est pas abrogé, et c’est mieux pour lui. Et : que « vous jeûnez est mieux pour vous » signifie qu’il n’y a aucune concession à ce sujet, sauf pour ceux qui ne sont pas capables de jeûner, ou qui sont incurablement malades.