أَخْبَرَنَا عَمْرُو بْنُ عَلِيٍّ، قَالَ حَدَّثَنَا يَحْيَى، عَنْ عُبَيْدِ اللَّهِ بْنِ عُمَرَ، قَالَ حَدَّثَنِي الزُّهْرِيُّ، عَنِ الْحَسَنِ، وَعَبْدِ اللَّهِ، ابْنَىْ مُحَمَّدٍ عَنْ أَبِيهِمَا، أَنَّ عَلِيًّا، بَلَغَهُ أَنَّ رَجُلاً، لاَ يَرَى بِالْمُتْعَةِ بَأْسًا فَقَالَ إِنَّكَ تَائِهٌ إِنَّهُ نَهَى رَسُولُ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم عَنْهَا وَعَنْ لُحُومِ الْحُمُرِ الأَهْلِيَّةِ يَوْمَ خَيْبَرَ ‏.‏
Traduction
D’après Ar-Rabi' bin Sabrah Al-Juhani, son père a dit :

« Le Messager d’Allah a donné l’autorisation pour Mut’ah, alors moi et un autre homme sommes allés voir une femme de Bani 'Amir et nous nous sommes offerts à elle. Elle m’a dit : « Qu’allez-vous me donner ? » J’ai dit : 'Ma Rida' (vêtement supérieur).' Ma compagne a aussi dit : « Ma Rida ». La Rida de mon compagnon était plus belle que la mienne, mais j’étais plus jeune que lui. Quand elle regardait la Rida de ma compagne, elle l’aimait, mais quand elle me regardait, elle m’aimait bien. Puis elle a dit : « Toi et ta Rida » me suffisent. Je suis resté avec elle pendant trois jours, puis le Messager d’Allah a dit : « Quiconque a une de ces femmes qu’il a épousées temporairement doit les laisser partir. »