« Lorsqu’il entra dans la prière rituelle, il dit : « Allah est suprêmement grand [Allahu Akbar], le Seigneur du pouvoir [jabarut], de la souveraineté [malakut], de la magnificence [kibriya'] et de la sublimité ['azama] ! Puis il récita la sourate de la Vache [al-Baqara]. Puis il se prosterna, et il s’inclina à peu près aussi longtemps qu’il s’était tenu debout, en disant : « Gloire à mon Seigneur le Tout-Puissant ! Gloire à mon Seigneur le Tout-Puissant ! Puis il leva la tête et resta debout à peu près aussi longtemps qu’il s’était incliné, en disant : « C’est à mon Seigneur qu’appartient la louange ! C’est à mon Seigneur qu’appartient la louange ! Puis il se prosterna, et il se prosterna à peu près aussi longtemps qu’il s’était tenu debout, en disant : « Gloire à mon Seigneur le Très-Haut ! Gloire à mon Seigneur le Très-Haut ! Puis il leva la tête, et la pause entre les deux prosternations fut à peu près aussi longue que les prosternations. Pendant la pause, il dit : « Mon Seigneur, pardonne-moi ! Mon Seigneur, pardonne-moi, jusqu’à ce qu’il récite les sourates de la Vache [al-Baqara], de la Famille d’Imran [Al 'Imran], des Femmes [an-Nisa'] et de la Table dressée [al-Maida], ou Bétail [al-An’am]. Selon Abou 'Isa : « Shu’ba est celui qui nourrissait des doutes sur [les sourates coraniques] al-Ma’ida et al-Anam. »