« Quand ce sera le Jour de la Résurrection, la Mort sera apportée comme un bélier mixte noir-blanc. Il sera placé entre le Paradis et le Feu, puis égorger pendant qu’ils veillent. Si quelqu’un devait mourir de joie, alors certainement les gens du Paradis et du Feu, puis ils l’égorgeraient pendant qu’ils regardaient. Si quelqu’un devait mourir de joie, alors sûrement les gens du Paradis mourraient, et si quelqu’un devait mourir de chagrin, alors sûrement les gens du Feu mourraient.
Texte du Hadith
« Lorsque ce sera le Jour de la Résurrection, la Mort sera amenée sous la forme d'un bélier mélangé noir et blanc. Elle sera placée entre le Paradis et le Feu, puis égorgée sous leurs yeux. Si quelqu'un devait mourir de joie, alors assurément les gens du Paradis mourraient, et si quelqu'un devait mourir de chagrin, alors assurément les gens du Feu mourraient. »
Référence de la Source
Livre : Chapitres sur la description du Paradis
Auteur : Jami' at-Tirmidhi
Hadith : Jami` at-Tirmidhi 2558
Commentaire Savant
Ce hadith profond démontre la finalité absolue de la mort au Jour du Jugement. La présentation de la Mort comme un bélier tangible étant égorgé symbolise l'éradication complète de la mortalité. La coloration noire et blanche représente la double nature de l'impact de la mort - apportant le désespoir aux mécréants et le soulagement aux croyants.
Le placement entre le Paradis et l'Enfer signifie que la fin de la mort se produit au moment précis de la séparation éternelle entre les bénis et les damnés. L'égorgement dramatique devant toute la création sert de preuve concluante qu'aucune autre mort ne se produira par la suite - les habitants du Paradis jouiront d'une félicité éternelle sans crainte de perte, tandis que les gens du Feu endureront un châtiment perpétuel sans espoir d'annihilation.
Les extrêmes émotionnels mentionnés - la joie pour les gens du Paradis et le chagrin pour les gens du Feu - mettent en lumière les conséquences ultimes des actions terrestres. Ce spectacle sert de démarcation finale entre les demeures éternelles, faisant de la mort elle-même un témoin de la justice divine.