Lorsque le Messager d’Allah se levait pour la prière obligatoire, il levait les mains au niveau de son épaule, et il le faisait lorsqu’il avait terminé sa récitation et avait l’intention de s’incliner, et il le faisait lorsqu’il levait la tête de Ruku', et il ne levait les mains dans aucune de ses prières pendant qu’il était assis. Lorsqu’il se levait des deux prosternations, il levait également les mains et disait le Takbir, et lorsqu’il ouvrait sa Salat après le Takbir, il disait : « J’ai dirigé mon visage vers Celui qui a créé les cieux et la terre, en tant que Hanif, et je ne suis pas du nombre des idolâtres. En effet, ma Salat, mon sacrifice, ma vie, ma mort, est pour Allah, le Seigneur de tout ce qui existe, sans partenaire, et c’est avec cela qu’il m’a été ordonné et je suis de la liste des musulmans. Ô Allah, Tu es le Roi, il n’y a personne digne d’adoration en dehors de Toi. Glorifié es-tu, tu es mon Seigneur, et je suis ton esclave, je me suis fait du tort à moi-même et j’avoue mon péché, alors pardonne-moi tous mes péchés, en vérité, il n’y a personne qui pardonne les péchés sauf toi, et guide-moi vers les meilleures manières, nul ne guide vers les meilleures d’entre eux sauf toi, et détourne de moi le mal d’eux, nul ne détourne de moi le mal d’eux, sauf Toi, je suis ici dans Ton obéissance et pour aider Ta cause, et je compte sur Toi et je me tourne toujours vers Toi, [et] il n’y a de refuge contre Toi ni de cachette loin de Toi que (d’aller) vers Toi, je demande Ton pardon, et je me repens à Toi (Wajjahtu wajhiya lilladhī faṭaras-samāwāti wal-arḍa ḥanīfan wa mā ana min al-mushrikīn, inna ṣalātī wa nusukī wa maḥyāya wa mamātī lillāhi rabbil-'ālamīn, lā sharīka lahū wa bidhālika umirtu wa ana min al-muslimīn. Allāhumma antal-maliku lā ilāha illā ant, subḥānaka anta rabbī, wa ana 'abduka ẓalamtu nafsī wa’taraftu bidhanbī faghfirlī dhunūbī jamī’an, innahū lā yaghfir adh-dhunūba illā ant. Wahdinī li-aḥsanil-akhlāqi lā yahdī li-aḥsanihā illā ant. Waṣrif 'annī sayyi’ahā lā yaṣrifu 'annī sayyi’aha illā ant. Labaika wa sa’daika, wa ana bika wa ilaika, [wa] lā manjā minka wa lā malja’a illā ilaik, astaghfiruka wa atūbu ilaik)." Puis il récitait, puis quand il s’inclinait, son discours dans son Ruku', était de dire : « Ô Allah, c’est vers Toi que je me suis incliné, et en Toi j’ai cru, et c’est à Toi que je me suis soumis (dans l’Islam), et Tu es mon Seigneur. Mon ouïe, ma vue, mon cerveau et mes os sont humiliés devant Allah, le Seigneur de tout ce qui existe (Allāhumma laka raka’tu wa bika āmantu wa laka aslamtu wa anta rabb ī. Khasha’a sam’ī wa baṣarī wa mukhkhī wa 'aẓmī lillāhi, rabbil-'ālamīn). Puis, lorsqu’il levait la tête de Ruku, il disait : « Allah entend celui qui le loue (Sami’a Allāhu liman ḥamidah). » Puis il le poursuivait avec : « Ô Allah, notre Seigneur, c’est à Toi que la louange remplit les cieux et la terre et remplit tout ce que Tu veux des choses par la suite (Allāhumma rabbanā wa lakal-ḥamdu mil’as-samāwāti wal-arḍi, wa mil’a mā shi’ta min shay’in ba’d.) ». Puis, lorsqu’il était prosterné, il disait dans sa prosternation : « Ô Allah, c’est à Toi que je me suis prosterné, en Toi que j’ai cru, et à Toi je me suis soumis (dans l’Islam), et Tu es mon Seigneur, mon visage s’est prosterné devant Celui qui l’a créé, et a accordé son ouïe et sa vue, Béni soit Allah, le Meilleur des Créateurs (Allāhumma laka sajadtu wa bika āmantu wa laka aslamtu wa anta rabbī, sajada wajhi lilladhī khalaqahū wa shaqqa sam’ahū wa baṣarahū, tabārak Allāhu ahsanul-khāliqīn)." Lorsqu’il avait terminé sa Salat, nous disions : « Ô Allah, pardonne-moi ce que j’ai fait, avant et après, et ce que j’ai caché, et ce que j’ai fait ouvertement, et Tu es ma Divinité, il n’y a personne digne d’adoration en dehors de Toi (Allāhummaghfirlī mā qaddamtu wa mā akhkhartu wa mā asrartu wa mā a’lantu, wa anta ilāhī lā ilāha illā ant)."