« Un homme vint voir le Prophète (صلى الله عليه وسلم) et lui dit : « J’ai caressé une femme qui habite à la lisière de Médine, et j’ai fait avec elle ce qui est moins qu’un rapport sexuel, et me voici, juge donc de mon cas comme tu voudras. » Alors 'Umar lui dit : « Allah t’a couvert, tu aurais donc dû te couvrir toi-même. » Le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) ne lui a donné aucune réponse. L’homme est parti, mais le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) a envoyé un homme après lui pour l’appeler. Il lui récita : « Et accomplis la Salat, aux deux extrémités du jour et à quelques heures de la nuit. En vérité, les bonnes actions effacent les mauvaises actions. C’est un rappel pour les attentifs (11:114) jusqu’à la fin du Ayah. Un homme parmi le peuple a dit : « Est-ce que c’est spécifique pour lui ? » Il (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Non. Plutôt pour tout le monde. [Abou 'Eisa a dit :] Ce hadith est Hasan Sahih. C’est ainsi qu’il a été rapporté par Isra’Il de Simãk, d’Ibrahim, de 'Alqamah et Al-Aswad, de 'Abdullãh du Prophète, et c’est similaire. Shu’bah l’a rapporté de Simak [bin Harb], d’Ibrahim, d’AlAswad, de 'Abdullãh du Prophète de la même manière. Sufyan AthThawri a rapporté la même chose de Simãk, d’Ibrahim, de 'AbdurRahman bin Yazld, de 'Abdulläh du Prophète (صلى الله عليه وسلم). Et les récits de ces gens sont plus corrects que le récit d’Ath-Thawri. (Une autre chaîne) de 'Abdullãh du Prophète avec similaire. (Une autre chaîne) de 'Abdulläh bin Mas’üd du Prophète (صلى الله عليه وسلم) avec une signification similaire, mais il n’y a pas mentionné « d’Al-A’mash ». Et Sulaimãn At-Taimi a rapporté ce hadith d’Abou 'Uthmãn An-Nahdi, d’Ibn Mas’ud d’après le Prophète.