que le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Je suis le chef des enfants d’Adam le Jour du Jugement et je ne me vante pas, et dans ma main il y a l’étendard de la louange et je ne me vante pas, et il n’y a pas eu de Prophète depuis Adam ou autre que lui, sauf qu’il est sous ma bannière. Et je suis le premier pour qui la terre se fendra, et je ne me vante pas. Il a dit : « Le peuple sera effrayé par trois frayeurs. Ils viendront donc vers Adam en disant : « Tu es notre père Adam, intercède donc pour nous auprès de ton Seigneur. » Alors il dit : « J’ai commis un péché pour lequel j’ai été expulsé vers la terre, alors va à Noé. » Ils viendront donc à Noé, et il dira : « J’ai supplié contre les gens de la terre, et ils ont été détruits. Va donc voir Ibrahim. Alors ils vont voir Ibrahim, et il dit : « J’ai menti trois fois. » Puis le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Il n’a menti que pour défendre la religion d’Allah. » « Va donc voir Moïse. » Ils viendront donc à Moïse, et il dira : « J’ai pris une vie. Alors allez à 'Eisa. Ils vont donc à 'Eisa et il dit : 'J’ai été adoré en dehors d’Allah. Va donc à Muhammad (صلى الله عليه وسلم).'" Il dit : « Ils viendront donc à moi, et j’irai vers eux. » (L’un des narrateurs) Ibn Ju’dan a dit : « Anas a dit : « C’est comme si je regardais le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم), et qu’il disait : « Je saisirai donc un anneau d’une porte du Paradis pour l’ébranler, et on dira : 'Qui est là ?' On dira : « Mohammed ». Ils l’ouvriront pour moi et m’accueilleront en disant : « Bienvenue ». Je me prosternerai et Allah m’inspirera des déclarations de gratitude et de louange et on me dira : « Lève la tête, demande et on te donnera, intercède, ton intercession et ton intercession sera acceptée, parle et ta parole sera exaucée. » Et c’est Al-Maqam Al-Mahmud à propos duquel Allah a dit : Il se peut que ton Seigneur te suscite à Maqaman-Mahmud (17:79). Sufyan a dit : « Rien de tout cela ne vient d’Anas, sauf cette phrase : 'Je vais saisir un anneau d’une porte du Paradis pour l’ébranler.' »