de Ma’qil bin Yasar qu’il a marié sa sœur à un homme parmi les musulmans à l’époque du Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم). Elle resta avec lui aussi longtemps qu’elle le fit, puis il divorça une fois sans la reprendre jusqu’à ce que sa 'Iddah soit écoulée, mais ils se désirèrent à nouveau. Il (Ma’qil) lui dit : "Ingrat ! Je t’ai honoré en te l’épousant, puis tu as divorcé. Par Allah ! Elle ne te sera plus jamais rendue. Allah savait qu’il était attentif à elle et qu’elle avait besoin d’un mari, alors Allah, Béni et Très-Haut, a révélé : « Et lorsque vous avez divorcé des femmes et qu’elles ont accompli le terme de leur période prescrite... jusqu’à Sa parole : '... et tu ne sais pas (2:232). Quand Ma’qil entendit cela, il dit : « J’ai entendu mon Seigneur et j’obéis. » Puis il l’appela et lui dit : 'Je t’épouse et je t’honore.' [Abou 'Eisa a dit :] Ce hadith est Hasan Sahih. Il a été signalé par d’autres voies à partir d’AlHasan, et ce qui est rapporté de Hasan est Gharib. Et dans ce hadtth, il y a la preuve que le mariage n’est pas permis sans un Wali, parce que la sœur de Ma’qil bin Yasãr n’était pas vierge, donc si l’affaire ne tenait qu’à elle, et non à son Wali, alors elle aurait pu se marier elle-même, et elle n’aurait pas eu besoin que Ma’qil bin Yasãr agisse comme le Wali pour elle. Et Allah ne s’adressa au Wali que dans ce verset en disant : « Ne les empêchez pas d’épouser leurs (anciens) maris. » - donc dans ce verset est la preuve que l’autorité est avec le Wali pour épouser (les femmes) avec leur consentement.