« Le Messager d’Allah avait écrit une lettre sur la charité, mais il ne l’avait pas envoyée à ses gouverneurs jusqu’à sa mort. Il le gardait avec lui avec son épée. À sa mort, Abou Bakr l’a mis en œuvre jusqu’à sa mort, tout comme Omar l’a fait jusqu’à sa mort. Il y était écrit : « Une brebis (est due) sur cinq chameaux, deux brebis sur dix, trois brebis sur quinze, quatre brebis sur vingt, un Bint Makhad sur vingt-cinq à trente-cinq. Quand il y en a plus, alors un Bint Labun (est dû, jusqu’à ce que le nombre des chameaux atteigne) quarante-cinq. Quand c’est plus que cela, alors une Hiqqah jusqu’à soixante ans. Quand c’est plus que cela, alors un Jadhah jusqu’à soixante-quinze ans. Quand il y en a plus de cent vingt, alors un Hiqqah tous les cinquante, et un Bint Labun tous les quarante. Pour les moutons ; une brebis pour quarante brebis jusqu’à cent vingt. Quand c’est plus que cela, alors deux moutons jusqu’à deux cents. Quand c’est plus que cela, alors trois brebis jusqu’à trois cents brebis. Quand il y a plus de trois cents brebis, alors une brebis pour cent brebis. Ensuite, il n’y a plus rien jusqu’à ce qu’il atteigne quatre cents. Il n’y a pas de combinaison (de propriété) individuelle ni de séparation de la (propriété) collective (propriété) par crainte de la Sadaqah. Et pour tout ce qui est mélangé que deux possèdent, alors ils doivent se référer au total. Ni un animal vieux ni un animal défectueux ne peut être pris pour la charité.