Parts d’héritage (Kitab Al-Fara’id)
كتاب الفرائض
Chapitre : L’abrogation de l’héritage dû aux alliances Par l’héritage dû aux relations
Se référant au verset : « Ceux qui crurent et adoptèrent l’exil... Quant à ceux qui ont cru mais ne sont pas venus en exil » : Un bédouin (qui n’a pas émigré à Médine) n’a pas hérité d’un émigrant, et un émigré n’a pas hérité de lui. Il a été abrogé par le verset : « Mais les parents par le sang ont des droits prioritaires les uns contre les autres. »
Chapitre : À propos des allégeances
Le Messager d’Allah (ﷺ) a dit : « Il n’y a pas d’alliance dans l’Islam, et l’Islam a renforcé l’alliance faite pendant les jours préislamiques.
Le Messager d’Allah (ﷺ) a établi une alliance (de fraternité) entre les émigrés et les Aides dans notre maison. On lui demanda : « Le Messager d’Allah (ﷺ) n’a-t-il pas dit : « Il n’y a pas d’alliance dans l’Islam ? » Il répondit : « Le Messager d’Allah (ﷺ) a établi une alliance entre les émigrés et les Aides dans notre maison. Il dit cela deux ou trois fois.
Chapitre : À propos d’une femme héritant du prix du sang de son mari
Sa’id dit : Omar ibn al-Khattab a dit : « Le prix du sang est destiné au clan de la tuée, et elle n’héritera pas du prix du sang de son mari. Ad-Dahhak ibn Sufyan a dit : « Le Messager d’Allah (ﷺm’a écrit que je donnerais une part à la femme d’Ashyam ad-Dubabi sur le prix du sang de son mari. Umar retira donc son opinion.
Ahmad ibn Salih a dit : Abdur Razzaq nous a transmis cette tradition de Ma’mar, d’az-Zuhri sur l’autorité de Sa’id. Dans cette version, il a dit : Le Prophète (ﷺ) l’a fait gouverneur des bédouins.