Consultation
كتاب الْمَشُورَةِ
Chapitre : Une personne consultée est en position de confiance
« Avez-vous un serviteur ? » — Non, répondit hérédit. Il dit : « Venez à nous, quand nous aurons des captifs. » Le Prophète (qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix) n’a eu que deux captifs. Abu’l-Haytham s’approcha de lui et le Prophète (qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix) lui dit : « Choisis entre eux. » « Choisissez-moi, Messager d’Allah », répondit-il. Le Prophète (qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix) a dit : « La personne qui est consultée est en position de confiance. Prenez celui-ci. Je l’ai vu prier. Traitez-le bien. La femme d’Abu’l-Haytham a dit : « Tu ne vivras pas selon les paroles du Prophète (qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix) à son sujet jusqu’à ce que tu le libères. » « Il est libre », a-t-il déclaré. Le Prophète (qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix) a dit : « Allah n’a pas envoyé un prophète ou un khalifa parce qu’il a deux confidents : un confident qui lui ordonne de faire ce qui est correct et interdit ce qui est mauvais, et un confident qui ne manquera pas de te corrompre. Quiconque est protégé du confident maléfique a été protégé.
Chapitre : Consultation
'Amir ibn Dinar a dit : « Ibn 'Abbas a récité (ce verset) : 'Consultez-les à ce sujet.' (3
159)"
Al-Hasan a déclaré : « Les gens ne cherchent jamais de conseils sans être guidés vers la meilleure possibilité qui s’offre à eux. » Puis il récita : « Et dirigez leurs affaires en vous concertant mutuellement. » (42
38)
Chapitre : La mauvaise action de quelqu’un qui donne des conseils malavisés à son frère
Abou Hurayra a rapporté que le Prophète, qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix, a dit : « Quiconque m’attribue des paroles que je n’ai pas dites doit s’asseoir dans le Feu. Quiconque donne des conseils erronés à son frère musulman lorsqu’il le consulte les a trahis. Si quelqu’un donne une fatwa qui n’est pas ferme, la mauvaise action repose sur celui qui l’a donnée.