Description de La Blague de Rasoolullah
باب ما جاء في صفة مزاح رسول الله صلى الله عليه وسلم
« Le Prophète (qu’Allah le bénisse et lui donne la paix) lui dit : « Ô deux oreilles ! »
« Le Messager d’Allah (qu’Allah le bénisse et lui donne la paix) voulait s’associer si étroitement avec nous qu’il a dit à l’un de mes jeunes frères : « Ô Abou 'Umaïr, qu’a fait le petit moineau à bec rouge ? »
« Ils dirent : « Ô Messager d’Allah, est-ce que tu nous taquines ? » Il a dit : « Oui, sauf que je ne dis que la vérité ! »
« Un homme demanda au Messager d’Allah (qu’Allah le bénisse et lui donne la paix) de lui donner une monture, et il dit : « Je te monterai sur la descendance d’une chamelle. L’homme dit : « Ô Messager d’Allah, que ferai-je de la descendance d’une chamelle ? » Il dit (qu’Allah le bénisse et lui donne la paix) : « À quoi donne naissance une chamelle, sinon à d’autres chamelles ? »
« Il y avait un homme parmi les gens du désert – il s’appelait Zahir – et il avait l’habitude d’apporter au Prophète (qu’Allah le bénisse et lui donne la paix) un cadeau du désert, afin que le Prophète (qu’Allah le bénisse et lui donne la paix) l’équipe lorsqu’il souhaitait aller au combat. » Le Prophète a dit (qu’Allah le bénisse et lui donne la paix) : « Zahir est notre désert, et nous sommes ses villes ». Il (Allah le bénit et lui donne la paix) avait l’habitude de l’aimer, bien qu’il soit un homme casanier, alors le Prophète (qu’Allah le bénisse et lui donne la paix) est venu à lui un jour alors qu’il vendait ses marchandises, et l’a embrassé par derrière afin qu’il ne puisse pas voir qui c’était. Alors il a dit : « Qui est-ce ? Lâche-moi ! Puis il se retourna et reconnut le Prophète (Allah le bénit et lui donne la paix). Une fois qu’il a reconnu le Prophète (qu’Allah le bénisse et lui donne la paix), il a gardé son dos appuyé contre la poitrine du Prophète, alors le Prophète (Allah le bénit et lui donne la paix) a commencé à dire : « Qui achètera cet esclave ? » L’homme dit : « Ô Messager d’Allah, dans ce cas, par Allah, tu trouveras que je suis une marchandise invendable ! » Le Prophète a dit (qu’Allah le bénisse et lui donne la paix) : « Mais tu n’es pas une marchandise invendable aux yeux d’Allah », ou il a dit : « Tu es précieux pour Allah ! »
« Une vieille femme s’approcha du Prophète (qu’Allah le bénisse et lui donne la paix) et lui dit : « Ô Messager d’Allah, supplie Allah de me laisser entrer dans le Jardin du Paradis ! » Il répondit : « Ô mère d’untel, aucune vieille femme n’entrera dans le jardin du paradis ! » Elle se détourna en pleurant, alors il dit : « Dis-lui qu’elle n’y entrera pas comme une vieille femme, car Allah dit : « Nous les avons créés une nouvelle création, et nous les avons rendus vierges, aimants, égaux en âge [inna ansha’na-hunna insha’a : fa-ja’alna-hunna abkara 'uruba atraba]. » (Coran ; 56:35-37)