Aliments (Kitab Al-At’imah)
كتاب الأطعمة
Chapitre : Ce qui a été rapporté sur l’acceptation des invitations
Lorsque l’un de vous est invité à un festin de mariage, il doit y assister.
S’il ne jeûne pas, il doit manger, et s’il jeûne, il doit le quitter.
Si l’un de vous invite son frère, qu’il accepte (l’invitation), qu’il s’agisse d’un festin de noces ou de quelque chose de cette nature.
La tradition mentionnée ci-dessus a également été transmise par Nafi' dans le même sens à travers la chaîne des narrateurs mentionnée dans Ayyoub.
Lorsque l’un de vous est invité à un repas, il doit accepter. S’il le souhaite, il peut manger, mais s’il le souhaite, il peut partir.
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Celui qui n’accepte pas une invitation qu’il reçoit a désobéi à Allah et à Son Messager, et celui qui entre sans invitation entre comme un voleur et en sort comme un pillard.
Abou Dawud a dit : Aban bin Tariq est inconnu.
La pire sorte de nourriture est celle d’un festin de noces auquel les riches sont invités et dont les pauvres sont exclus. Si quelqu’un n’assiste pas à la fête à laquelle il était invité, il a désobéi à Allah et à Son Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui).
Chapitre : Concernant la recommandation pour l’organisation d’un festin de mariage
Le mariage de Zainab, fille de Jahsh, a été mentionné avant Anas b. Malik. Il a dit : « Je n’ai pas vu que le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) a organisé un tel festin de noces pour l’une de ses épouses comme il l’a fait pour elle. Il organisa un festin de noces avec un mouton.
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a organisé un festin de noces pour Safiyyah avec repas et dattes.
Chapitre : Combien de temps doit durer le festin de mariage
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Le festin de noces du premier jour est un devoir, celui du second est une bonne pratique, mais celui du troisième jour doit en faire entendre parler aux hommes et le leur montrer. Qatadah a dit : « Un homme m’a dit que Sa’id ibn al-Musayyab avait été invité (à un festin de noces le premier jour et il l’a accepté). Il a été de nouveau invité le deuxième jour, et il a accepté. Lorsqu’il a été invité le troisième jour, il n’a pas accepté ; Il dit : « Ce sont eux qui font entendre parler aux hommes et qui le leur montrent.
Lorsqu’il a été invité le troisième jour, il n’a pas accepté mais a jeté des cailloux sur le messager.
Chapitre : Offrir de la nourriture à l’arrivée d’une personne après un voyage
Lorsque le Prophète (صلى الله عليه وسلم) retournait à Médine, il égorgeait un chameau ou une vache.
Chapitre : Ce qui a été rapporté sur l’hôtellerie
Abou Dawud a dit : « Malik a été interrogé sur la parole du Prophète : « Des provisions pour la route qui servira pour un jour et une nuit. » Il dit : « Il doit l’honorer, lui offrir un cadeau, le protéger pendant un jour et une nuit, et l’hospitalité pendant trois jours.
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : « L’hospitalité s’étend sur trois jours, et ce qui va au-delà, c’est la sadaqah (charité).
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : « C’est un devoir de chaque musulman (d’offrir l’hospitalité) à un invité pour une nuit. Si quelqu’un vient le matin chez lui, c’est une dette qui lui est due. S’il le veut, il peut l’accomplir, et s’il le veut, il peut le quitter.
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Si un musulman est l’hôte du peuple et qu’on ne lui donne rien, il est du devoir de chaque musulman de l’aider au point de le prendre de sa récolte et de ses biens pour le divertissement d’une nuit.
Abou Dawoud a dit : « Et c’est une autorité pour un homme de prendre une chose si elle lui est due.
Chapitre : Abrogation de la décision selon laquelle un invité peut manger des biens d’un autre
Lorsque le verset : « Ô vous qui croyez ! Ne mangez pas vos biens entre vous dans des vanités, mais qu’il y ait parmi vous le trafic et le commerce de bonne volonté mutuelle » a été révélé, un homme a pensé que c’était un péché de manger dans la maison d’un autre homme après la révélation de ce verset.
Puis cette (injonction) a été révélée par le verset de la sourate an-Nur : « Que vous mangiez en compagnie ou séparément. »
Lorsqu’un homme riche (après la révélation) invitait un homme de son peuple à manger de la nourriture dans sa maison, il disait : Je considère que c’est un péché d’en manger, et il disait : un homme pauvre y a plus droit que moi. Le mot arabe tajannah signifie péché ou faute. Il a alors été déclaré licite de manger quelque chose sur lequel le nom d’Allah était mentionné, et il a été rendu licite de manger la chair d’un animal abattu par les gens du Livre.
Chapitre : En ce qui concerne la nourriture de deux qui sont en compétition
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a interdit de manger la nourriture de deux personnes qui rivalisaient l’une avec l’autre
Abou Dawoud a dit : « La plupart de ceux qui l’ont rapporté de Jarir n’ont pas mentionné le nom d’Ibn Abbas. Haroun al-Nahwi y a mentionné Ibn 'Abbas, et Hammad bin Zaid n’a pas mentionné Ibn 'Abbas.