Médecine (Kitab Al-Tibb)
كتاب الطب
Chapitre : Un homme devrait chercher un remède
Je suis venu vers le Prophète (صلى الله عليه وسلم) et ses compagnons étaient assis comme s’ils avaient des oiseaux sur la tête. Je saluai et m’assis. Les Arabes du désert sont alors venus d’ici et de là. Ils demandèrent : « Messager d’Allah, devrions-nous recourir à un traitement médical ? » Il répondit : « Fais usage d’un traitement médical, car Allah n’a pas créé une maladie sans lui avoir désigné un remède, à l’exception d’une seule maladie, à savoir la vieillesse.
Chapitre : Concernant l’alimentation
Le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) est venu me rendre visite, accompagné d’Ali qui était en convalescence. Nous avions des dattes mûres suspendues. Le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) se leva et commença à manger d’eux.
Ali se leva aussi pour manger, mais le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) dit à plusieurs reprises à Ali : Arrête, Ali, car tu es en convalescence, et Ali s’arrêta.
Elle a dit : « J’ai ensuite préparé de l’orge et de la racine de bière et je les ai apportés. Le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) a alors dit : « Prends un peu de ceci, Ali, car cela te sera plus bénéfique. » AbuDawud a dit : Le narrateur Haroun a dit : al-Adawiyyah (c’est-à-dire Umm al-Mundhar).
Chapitre : Ventouses
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Le meilleur traitement médical que vous appliquez est les ventouses.
La servante du Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم), a dit : « Personne ne s’est plaint au Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) d’un mal de tête mais il lui a dit de se mettre en coupe, ou d’une douleur dans les jambes mais il lui a dit de les teindre avec du henné.
Chapitre : Concernant le site traité lors de la ventouse
Le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) avait l’habitude de se mettre en coupe sur le dessus de la tête et entre les épaules, et il avait l’habitude de dire : Si quelqu’un verse un peu de son sang, il ne souffrira pas s’il n’applique aucun traitement médical pour quoi que ce soit.
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) s’est fait couper trois fois les veines sur les côtés du cou et sur l’épaule. Ma’mar a dit : Je me suis prise en coupe et j’ai perdu la mémoire à tel point que j’ai été instruite dans ma prière par d’autres. Il s’était mis en coupe au sommet de la tête.
Chapitre : Quand les ventouses sont-elles recommandées ?
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Si quelqu’un s’est mis en coupe les 17, 19 et 21, ce sera un remède pour chaque maladie.
(le narrateur autre que Moïse a dit que Kayyisah était la fille d’Abou Bakrah) Elle a dit que son père avait l’habitude d’interdire à sa famille de se faire mettre en coupe un mardi, et avait l’habitude d’affirmer sur l’autorité du Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) que le mardi est le jour du sang où il y a une heure où il ne s’arrête pas.
Le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) s’est fait mettre en coupe au-dessus de la cuisse pour une contusion dont il souffrait.
Chapitre : Couper les veines et le site de coupe
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a envoyé un médecin à Ubayy (ibn Ka’b), et il s’est coupé la veine.
Chapitre : À propos de la cautérisation
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a interdit la cauterise ; Nous avons cautérisé mais ils (la cautérisation) ne nous ont pas été bénéfiques, ni ne se sont avérés utiles pour nous.
Abou Dawoud a dit : « Il avait l’habitude d’entendre la salutation des anges : Quand il cautérisait, elle s’arrêtait. Lorsqu’il abandonna, il lui revenait.
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a cautérisé Sa’d b. Mu’adh de la blessure d’une flèche.
Chapitre : Concernant al sa-ut
Le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) a reniflé la médecine.
Chapitre : À propos d’an-nouchra
Le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) a été interrogé sur un charme pour celui qui est possédé (nashrah). Il répondit : « Il s’agit de l’œuvre du diable. »
Chapitre : At-tiryaq (Theriaca)
J’ai entendu le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) dire : « Si je bois un antidote, ou attache une amulette, ou compose de la poésie, je suis du genre à ne pas me soucier de ce qu’il fait.
Abou Dawud a dit : C’était propre au Prophète (صلى الله عليه وسلم), mais certaines personnes ont autorisé son utilisation, c’est-à-dire l’antidote.
Chapitre : En ce qui concerne les remèdes détestés
Le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) a interdit la médecine impure.
Lorsqu’un médecin a consulté le Prophète (صلى الله عليه وسلم) au sujet de l’introduction de grenouilles en médecine, il lui a interdit de les tuer.
Si quelqu’un boit du poison, le poison sera dans sa main (le Jour du Jugement) et il le boira dans le feu de l’Enfer et il y vivra éternellement.
Wa’il dit : Tariq ibn Suwayd ou Suwayd ibn Tariq a interrogé le Prophète (صلى الله عليه وسلم) sur le vin, mais il l’a interdit. Il lui demanda de nouveau, mais il le lui défendit. Il lui dit : « Prophète d’Allah, c’est un médicament. » Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : Non, c’est une maladie.