Le livre de la coupure de la main du voleur

كتاب قطع السارق

Chapitre : Mentionnant les différences rapportées par Abu Bakr bin Muhammad et 'Abdullah bin Abi Bakr d’après 'Amrah dans ce hadith

Narrateur mentionné dans le hadith

Un rapport similaire a été rapporté par 'Aïcha du Messager d’Allah.

Il a été rapporté que 'Amrah a dit

« Aïcha dit : 'Couper (la main du voleur) est pour un quart de dinar ou plus.' '

Il a été rapporté que 'Aïcha a dit

« Le Messager d’Allah a dit : « La main du voleur sera coupée pour le prix d’un bouclier, et le prix d’un bouclier est d’un quart de dinar. »

Il a été rapporté que 'Aïcha a dit

« Le Messager d’Allah avait l’habitude de couper la main (du voleur) pour un quart de dinar ou plus. »

Il a été rapporté que 'Aïcha a dit

« Le Messager d’Allah a dit : « La main (du voleur) ne doit être coupée que pour un quart de dinar. »

'Aïcha, la mère des croyants, a rapporté que le Messager d’Allah a dit

« La main (du voleur) ne doit pas être coupée pour servir de bouclier. »

'Aïcha a dit

Le Messager d’Allah a dit : « La main du voleur ne doit pas être coupée pour rien de moins qu’un bouclier. » Il fut dit à 'Aïcha : 'Quel est le prix d’un bouclier ?' Elle a dit : « Un quart de dinar ».

Il a été rapporté d’Aïcha qu’elle a entendu le Messager d’Allah dire

« La main d’un voleur ne doit être coupée que pour un quart de dinar ou plus. »

Makhramah a rapporté que son père a dit

« J’ai entendu 'Uthman bin Abi AL-Walid, l’esclave affranchi de l’Akhnasiyin, dire : 'J’ai entendu 'Urwah bin Az-Zubair dire » ; Aïcha avait l’habitude de raconter que le Prophète a dit : « La main (du htief) ne doit pas être coupée pour autre chose qu’un bouclier ou son équivalent en valeur. »

'Uthman bin Abi Al-Walid a dit

« J’ai entendu 'Urwah bin Az-Zubair dire : « Aïcha avait l’habitude de raconter que le Prophète d’Allah a dit : « La main (du voleur) ne doit pas être coupée, sauf pour un bouclier ou son équivalent en valeur. Et il a dit que 'Urwah a dit : Un bouclier vaut quatre dirhams. Et il (le narrateur) dit : « J’ai entendu Sulaiman bin Yasar dire qu’il a entendu 'Amrah dire : J’ai entendu 'Aïcha raconter qu’elle a entendu le Messager d’Allah dire : « La main (du voleur) ne doit pas être coupée si ce n’est pour quatre dinars ou plus. »

Il a été rapporté que sulaiman bin Yasar a dit

« Cinq (doigts, c’est-à-dire la main) ne doivent pas être coupés à l’exception de cinq. » Hammam a déclaré : « J’ai rencontré Abdullah Ad-Danaj et il m’a raconté que Sulaiman bin Yasar a dit : « Cinq ne doivent pas être retranchés, sauf cinq. » (Sahih Maqtu)

Il a été rapporté que 'Aïcha a dit

« La main du voleur ne doit pas être coupée pour rien de moins qu’une Hajafah ou un Turs (deux sortes de boucliers) », chacun d’entre eux valant un prix (décent).

D’après 'Abdullah :

le Prophète a coupé (la main du voleur) pour (quelque chose) qui valait cinq dirhams. (Daif)

Il a été rapporté qu’Ayman a dit

« Le Prophète n’a pas coupé (la main du) voleur, sauf pour la valeur d’un bouclier, et la valeur d’un bouclier en ce temps-là était un dinar. » (Daif)

Il a été rapporté qu’Ayman a dit

« La main d’un voleur ne serait pas coupée à l’époque du Messager d’Allah, sauf pour la valeur d’un bouclier, qui à l’époque était un dinar. » (Daif)

Il a été rapporté qu’Ayman a dit

« La main d’un voleur n’a pas été coupée à l’époque du Messager d’Allah, sauf pour la valeur d’un bouclier, et la valeur d’un bouclier à cette époque-là était un dinar. » (Daif)

Il a été rapporté qu’Ayman a dit

« La main d’un voleur n’était pas coupée à l’époque du Messager d’Allah, sauf pour le prix d’un bouclier, qui à l’époque était un dinar. » (Daif)

Il a été rapporté qu’Ayman a dit

« La main du voleur doit être coupée pour le prix d’un bouclier, et le prix d’un bouclier, à l’époque du Messager d’Allah, était d’un dinar ou de dix dirhams. » (Daif)

Il a été rapporté que Ayman bin Umm Ayman, qui l’a attribué au Prophète, a dit

« La main d’un voleur ne doit être coupée que pour le prix d’un bouclier, et à cette époque, le prix d’un bouclier était un dinar. »

Il a été rapporté qu’Ayman a dit

« La main d’un voleur ne doit pas être coupée pour moins que le prix d’un bouclier. » (Daif Mawquf)