Les chapitres sur les transactions commerciales
كتاب التجارات
Chapitre : Le salaire si le Raqt
« Le Messager d’Allah (ﷺ) nous a envoyés, trente cavaliers, en campagne militaire. Nous avons campé près de certaines personnes et leur avons demandé l’hospitalité, mais elles ont refusé. Alors leur chef fut piqué par un scorpion et ils dirent : « Y a-t-il quelqu’un parmi vous qui puisse réciter la Ruqyah pour une piqûre de scorpion ? » J’ai dit : « Oui, je peux, mais je ne réciterai pas la Ruqyah pour lui tant que tu ne nous auras pas donné des brebis. » Ils dirent : « Nous vous donnerons trente brebis. » Nous les avons donc acceptés, et j’ai récité Al-Hamd (c’est-à-dire Al-Fatihah) sur lui sept fois. Puis il s’est rétabli et j’ai pris les moutons. Puis des doutes sont apparus en nous. Alors nous dirons : « Ne nous hâtons pas (de prendre une décision concernant les brebis) jusqu’à ce que nous arrivions chez le Prophète (ﷺ ) » Et quand nous revînmes : « Je lui dis ce que j’avais fait. Il a dit : « Comment saviez-vous qu’il s’agit d’une Ruqyah ? Divisez-les et donnez-moi aussi une part.
Chapitre : Salaires pour l’enseignement du Coran
« J’ai enseigné aux gens d’Ahtus-Suffah » le Coran et comment écrire, et l’un d’eux m’a salué. J’ai dit : « Ce n’est pas de l’argent, et je peux tirer avec pour l’amour d’Allah. » J’ai interrogé le Messager d’Allah (ﷺ) à ce sujet et il a dit : « S’il te plaît d’avoir un collier de feu autour de ton cou, alors accepte-le. »
« J’ai enseigné le Coran à un homme, et il m’a fait une révérence. J’en ai parlé au Messager d’Allah (ﷺ) et il a dit : « Si tu l’acceptes, tu accepteras un arc de feu. » Alors je l’ai rendu.
Chapitre : Interdiction du prix (donné) à une prostituée, du paiement fait à un devin et à un saint
le Prophète (ﷺ) a interdit le prix d’un chien, le paiement (donné à une prostituée) et le paiement fait à un devin.
« Le Messager d’Allah (ﷺ) a interdit le prix d’un chien et le cloutage d’un étalon. »
« Le Messager d’Allah (ﷺ) a interdit le prix d’un chat. »
Chapitre : Gains d’un souper
le Prophète (ﷺ) a été traité avec des ventouses et il lui a donné (au cupper) son salaire. (Sahih) Ibn Abu 'Umar était le seul à le raconter. C’est ce qu’a dit Ibn Majah. [1]
« Le Messager d’Allah (ﷺ) a été traité avec des ventouses et il m’a dit de donner son salaire au cupper. »
le Prophète (ﷺ) a été traité avec des ventouses et a donné au cupper son salaire.
« Le Messager d’Allah (ﷺ), a interdit le gain d’un repas. »
son père demanda au Prophète (ﷺ) ce qu’il pensait des gains d’un repas et il lui en interdit l’interdiction. Puis il a mentionné son besoin et il a dit : « Dépensez-le pour nourrir vos chamelles qui puisent de l’eau. »
Chapitre : Ce qu’il n’est pas permis de vendre
J’ai entendu Jabir bin 'Abdullah dire : « L’année de la Conquête, alors qu’il était à La Mecque, le Messager d’Allah (ﷺ), a dit : « Allah et Son messager ont interdit la vente de vins, de viandes d’animaux morts, de porcs et d’idoles. On lui dit : « Ô Messager d’Allah, que penses-tu de la graisse des animaux morts, car elle est utilisée pour calfeutrer les navires, elle est enduite sur des peaux d’animaux et les gens l’utilisent pour allumer leurs lampes ? » Il a dit : « Non, c’est illégal. » Puis le Messager d’Allah (ﷺ) dit : « Qu’Allah maudisse les juifs, car Allah leur a interdit la graisse (des animaux), mais ils l’ont rendue (c’est-à-dire fondue), l’ont vendue et en ont consommé le prix. »
« Le Messager d’Allah a interdit de vendre ou d’acheter des chanteuses, ainsi que leurs salaires, et d’en consommer le prix. »
Chapitre : Ce qui a été rapporté concernant l’interdiction de Muhabadhah et Mulamsah
« Le Messager d’Allah (ﷺ) a interdit deux types de transactions : Mulimasah et Mundbadhah.
le Messager d’Allah (ﷺ) a interdit Mulamasah et Munabadhah. (Sahih) Sahl a ajouté : « Sufyan a dit : 'Mulamasah veut dire quand un homme touche quelque chose avec sa main sans le voir, et Munabadhah veut dire quand il dit : 'Lance-moi ce que tu as, et je te jetterai ce que tu as.'
Chapitre : "Un homme ne doit pas vendre moins cher que la vente de son frère, ni essayer de marchander son b.
« Que l’un de vous ne sous-estime pas l’autre. » [1]
« Un homme ne doit pas vendre son frère à un prix inférieur, ni faire frire pour marchander son frère. »
Chapitre : Ce qui a été rapporté au sujet de l’interdiction du Najsh
le Prophète (ﷺ) a interdit le Najsh.
« Ne pratiquez pas le Najsh. »
Chapitre : Interdiction pour un citadin de vendre pour le compte d’un bédouin
« Un citadin ne devrait pas vendre pour un Bédouin. »