Les chapitres sur les transactions commerciales
كتاب التجارات
Chapitre : Interdiction pour un citadin de vendre pour le compte d’un bédouin
« Un citadin ne devrait pas vendre pour un Bédouin. Laissez les gens (faire du commerce) et Allah leur accordera des provisions les uns par les autres.
« Le Messager d’Allah (ﷺ) a interdit à un citadin de vendre pour un Bédouin. » (Sahih) J’ai dit à Ibn 'Abbas : « Que signifient les mots : 'Un citadin qui vend pour un Bédouin ?' Il a dit : « Il ne devrait pas être un intermédiaire pour lui. »
Chapitre : Interdiction de rencontrer des commerçants en chemin
« Ne rencontrez pas les commerçants sur le chemin, et quiconque rencontre l’un d’entre eux et achète chez lui, le vendeur a le choix d’annuler la transaction lorsqu’il vient sur le marché. »
« Le Messager d’Allah (ﷺ) a interdit de rencontrer des commerçants sur le chemin. »
« Le Messager d’Allah (ﷺ) a interdit. rencontrer les propriétaires de biens (loin du marché) ».
Chapitre : Les deux parties à une transaction ont le choix (de l’annuler) dans la mesure où elles ont
« Lorsque deux hommes concluent une transaction, chacun d’eux a le choix (de l’annuler) tant qu’ils ne se sont pas encore séparés et qu’ils sont toujours ensemble, ou que l’un d’eux a donné l’option ou le choix à l’autre. Une fois qu’il a accepté les termes de l’autre, la transaction est contraignante. S’ils se séparent après avoir conclu la transaction et qu’aucun d’eux n’a annulé la transaction, la transaction est contraignante.
« Les deux parties à une transaction ont le choix (de l’annuler) tant qu’elles ne se sont pas encore séparées. »
« Les deux parties à une transaction ont le choix (de l’annuler) tant qu’elles ne se sont pas encore séparées. »
Chapitre : Une transaction avec l’option d’annulation
« Le Messager d’Allah (ﷺ) a acheté une cargaison de fourrage à un Bédouin. Lorsque la transaction a été conclue, le Messager d’Allah (ﷺa dit : « Choisissez (soit de continuer, soit d’annuler la transaction) ». Les Bédouins dirent : « Qu’Allah vous accorde une longue vie de bonnes transactions ! »
J’ai entendu Abou Saïd Al-Khudri dire : « Le Messager d’Allah (ﷺ) a dit : « Les transactions ne peuvent être effectuées que par consentement mutuel. »
Chapitre : Parties à une transaction qui diffèrent les unes des autres
Abdullah bin Mas’ud a vendu l’un des esclaves de l’État[1] à Ash’ath bin Qais, et ils ont divergé sur le prix. Ibn Mas’ud a dit : « Je te l’ai vendu pour vingt mille », mais Ash’ath bin Qais a dit : « Je te l’ai acheté pour dix mille. » 'Abdullah a dit : « Si tu veux, je vais te dire un hadith que j’ai entendu du Messager d’Allah (ﷺ ) Il a dit : « Dis-le-moi. » Il a dit : « J’ai entendu le Messager d’Allah (ﷺ) dire : « Si deux parties à une transaction divergent, qu’elles n’ont aucune preuve et que l’objet de la vente reste (non racheté), alors ce que dit le vendeur est valide. Ou ils peuvent annuler la transaction. Il a dit : « Je veux annuler la transaction. » Et il l’a annulé.
Chapitre : L’interdiction de vendre ce qui n’est pas chez vous, et de profiter de ce que vous ne faites pas
« J’ai dit : « Ô Messager d’Allah, un homme me demande de lui vendre quelque chose que je ne possède pas. Est-ce que je le lui vendrai ? Il a dit : « Ne vendez pas ce qui n’est pas chez vous. »
« Le Messager d’Allah (ﷺ) a dit : « Il n’est pas permis de vendre quelque chose qui n’est pas chez vous, ni de profiter de ce que vous ne possédez pas. »
Lorsque le Messager d’Allah (ﷺ) l’a envoyé à La Mecque, il lui a interdit de profiter de ce qu’il ne possédait pas.
Chapitre : Si deux personnes autorisées effectuent une vente, la première transaction est celle qui est
« Tout homme qui vend à deux hommes, c’est pour celui qui était le premier. » [1]
« Si deux personnes autorisées (distinctes) effectuent une vente (de la même chose), alors la première transaction est celle qui est valide. »
Chapitre : Interdiction d’arrhes
le Prophète (ﷺ) a interdit le commerce impliquant de l’argent comptant.
le Prophète (ﷺ) a interdit le marché impliquant des arrhes. (Hasan) Abou 'Abdullah a dit : « L’acompte fait référence au moment où un homme achète un animal pour cent dinars, puis il donne deux dinars au vendeur à l’avance et dit : « Si je n’achète pas l’animal, alors les deux dinars sont à toi. » Et il a été dit qu’il s’agit, et Allah le sait mieux, du moment où un homme achète quelque chose, et donne au vendeur un dirham ou moins ou plus, et dit : « Si je le prends (c’est très bien), et si je ne le fais pas, alors le dirham est à toi. »
Chapitre : Interdiction des transactions Hasah et Gharar
« Le Messager d’Allah (ﷺ) a interdit les transactions de Gharar et de Hasah. »
« Le Messager d’Allah (ﷺ) a interdit les transactions à Gharar. »