Le Livre du Mariage
كتاب النكاح
Chapitre : L’interdiction d’être marié à la femme et à sa tante paternelle ou à sa tante maternelle
que le Messager d’Allah (ﷺ) a interdit la combinaison de quatre femmes dans le mariage : une femme avec la sœur de son père, et une femme avec la sœur de sa mère.
J’ai entendu le Messager d’Allah (ﷺ) dire : « La sœur du père ne doit pas être combinée avec la fille de son frère, ni la fille d’une sœur avec la sœur de sa mère.
C’est pourquoi nous avons considéré la tante paternelle du père (de sa femme) et la tante maternelle de son père (de la femme) au même niveau.
On ne doit pas unir dans le mariage une femme avec la sœur de son père, ou la sœur de sa mère.
Un hadith comme celui-ci a été rapporté par l’autorité d’Abou Huraira (qu’Allah l’agrée) par une autre chaîne de transmetteurs.
Un homme ne doit pas faire une proposition de mariage à une femme alors que son frère l’a déjà fait. Et il ne doit pas offrir un prix pour une chose pour laquelle son frère avait déjà offert un prix ; Et une femme ne doit pas être mariée avec la sœur de son père, ni avec la sœur de sa mère, et une femme ne doit pas demander à divorcer sa sœur pour la priver de ce qui lui appartient, mais elle doit se marier, car elle aura ce qu’Allah a décrété pour elle.
Abou Huraira (qu’Allah l’agrée) a rapporté que le Messager d’Allah (ﷺ) a interdit de marier une femme avec la sœur de son père, ou avec la sœur de sa mère, ou qu’une femme devrait demander le divorce pour sa sœur afin de la priver de ce qui lui appartient. Allah, le Très-Haut et le Majestueux, est aussi son soutien.
Abou Huraira (qu’Allah l’agrée) a rapporté que le Messager d’Allah (ﷺ) a interdit de combiner une femme et la sœur de son père, et une femme et la sœur de sa mère.
Un hadith comme celui-ci a été transmis sur l’autorité d’Amr b. Dinar
Chapitre : L’interdiction du mariage pour celui qui est en Ihram, et il n’aime pas qu’il propose le mariage
J’ai entendu 'Uthman b. 'Affan dire que le Messager d’Allah (ﷺ) avait déclaré : « Un Muhrim ne doit ni se marier lui-même, ni arranger le mariage d’un autre, ni faire la proposition de mariage.
Umar b. Ubaidullah b. Ma’mar m’a envoyé à Aban b. Uthman car il voulait faire la proposition de mariage de son fils avec la fille de Shaiba b. Uthman. Il (Aban b. Uthman) était à ce moment-là (occupé) dans la saison du pèlerinage. Il a dit : « Je le considère comme un homme du désert (car c’est une chose courante) qu’un Muhrim ne peut pas épouser, et qu’il n’est pas autorisé à être marié à quiconque. C’est Uthman (b. Affan) qui nous a rapporté cela de la part du Messager d’Allah (ﷺ).
Un Muhrim ne doit pas se marier lui-même, ni se marier avec qui que ce soit, ni faire la proposition de mariage.
Un Muhrim ne doit ni se marier (dans cet état) ni faire la demande en mariage.
J’ai l’intention d’épouser Talha b. 'Umar et je désire ardemment que tu sois présent là-bas (dans cette cérémonie de mariage). Aban lui dit : « Je te trouve un Irakien impassible. J’ai entendu 'Uthman b. 'Affan dire que le Messager d’Allah (ﷺ) a dit : « Un Muhrim ne doit pas se marier.
« Je l’ai raconté à Zuhri et il a dit : « Yazid b. al-Asamm (qu’Allah l’agrée) m’a dit qu’il (le Saint Prophète) l’a épousée alors qu’il n’était pas un muhrim. »
Le Messager d’Allah. (ﷺ) a épousé Maimuna alors qu’il était un Muhrim.
Maimuna, fille d’al-Harith, m’a raconté que le Messager d’Allah (ﷺ) l’a épousée et qu’il n’était pas en état d’Ihram. Et elle (Maimuna) était la sœur de ma mère et celle d’Ibn 'Abbas (qu’Allah soit satisfait d’eux).
Chapitre : L’interdiction de demander en mariage lorsque son frère l’a déjà fait, à moins qu’il n’en donne l’autorisation ou qu’il y renonce
Aucun d’entre vous ne doit surenchérir sur un autre dans une transaction, ni faire des propositions de mariage sur la proposition de quelqu’un d’autre.
Une personne ne doit pas conclure une transaction alors que son frère (l’avait déjà fait mais ne l’avait pas finalisée), et elle ne devrait pas faire de proposition de mariage sur la base de la proposition déjà faite par son frère, jusqu’à ce qu’elle l’autorise.
Le hadith ci-dessus a été rapporté par Ibn Umar à travers une autre chaîne.