Chapitres sur la médecine
كتاب الطب عن رسول اللَّهِ صلى الله عليه وسلم
Chapitre : L’innovation pour la fièvre et toutes les douleurs
« Pour la fièvre et toutes les douleurs, le Prophète (SAW) leur enseignerait à dire : Bismillahil-Kabir ; a’udhu billahil-'Azimi min sharri kulli 'irqin na’arin, wa min sharri harrin-nar. (Au nom d’Allah le Grand, je cherche refuge auprès d’Allah le Magnifique contre le mal de toute veine jaillissante et contre le mal de la chaleur du Feu)
Chapitre : Ce qui a été rapporté à propos d’Al-Ghilah
« J’ai entendu le Messager d’Allah (SAW) dire : « Je voulais interdire Al-Ghilah, mais les Perses et les Romains l’ont fait, et ils n’ont pas tué leurs enfants. »
« J’avais l’intention d’interdire Al-Ghilah jusqu’à ce que je me souvienne que les Perses et les Romains font cela, sans aucun mal à leurs enfants. »
Chapitre : Qu’est-ce qui a été rapporté sur le traitement de la pleurésie
« Le Prophète (SAW) acclèterait l’huile et les guerres pour (le traitement de) la pleurésie. » Qatadah a dit : « Et on le met dans la bouche du côté dont il souffre. »
« J’ai entendu Zaid bin Arqam dire : « Le Messager d’Allah (SAW) nous a ordonné d’utiliser le Qust Al-Bahri et de l’huile pour traiter la pleurésie. »
Chapitre : Comment éloigner la douleur de soi-même
« Le Messager d’Allah (SAW) est venu à moi alors que j’avais une douleur qui m’a presque ruiné. Alors, le Messager d’Allah (SAW) a dit : « Frotte-le sept fois avec ta main droite et dis A’udhu bi 'Izzatillah Wa Qudratihi wa Sultanihi min sharri ma ajid. » (« Je cherche refuge dans la puissance, l’autorité, le mal d’Allah, contre le mal de ce que je souffre.) » Il a dit : « Alors je l’ai fait, et Allah m’a enlevé ce que j’avais, et je n’ai jamais cessé de dire à ma famille et à d’autres de le faire. »
Chapitre : Qu’est-ce qui a été lié à Senna
Il a dit : « Il fait chaud et trop fort. » Elle a dit : « Ensuite, j’ai utilisé le séné comme laxatif. » Alors le Prophète (SAW) a dit : « S’il y avait quelque chose qui aurait pu contenir un remède contre la mort, alors c’était le Séné. »
Chapitre : Qu’est-ce qui a été lié au traitement avec du miel
« Un homme est venu voir le Prophète (SAW) et lui a dit : « Mon frère souffre d’intestins lâches. » Il dit : « Qu’il boive du miel. » Alors il l’a bu. Puis il vint et dit : « Ô Messager d’Allah ! Il a bu du miel, mais cela ne l’a fait qu’empirer. Alors le Messager d’Allah (SAW) a dit : « Qu’il boive du miel. » Il a dit : « Alors il l’a bu. Puis il s’approcha et dit : « Ô Messager d’Allah (SAW) ! Je lui ai donné un peu plus à boire, mais cela n’a fait qu’empirer ses actes. Il a dit : « Le Messager d’Allah (SAW) a dit : « Allah a dit la vérité, et l’estomac de ton frère a menti. Donnez-lui à boire du miel ». Il lui donna donc encore à boire du miel et il fut guéri.
Chapitre : Ce qui est dit lors de la visite aux malades
« Il n’y a pas de croyant musulman qui visite quelqu’un qui est malade - sauf au moment de la mort - et il dit sept fois : As’alullah Al-'Azeem Rabbal 'Arshil 'Azeem an yashfik (« Je demande à Allah le Magnifique, Seigneur du Trône Magnifique, de te guérir ») sauf quand il sera guéri. »
Chapitre : Comment refroidir la fièvre avec de l’eau
« Quand l’un de vous souffre de la fièvre – et en effet la fièvre est un morceau du Feu – qu’il l’éteigne avec de l’eau. Qu’il se tienne près d’une rivière qui coule, dans la direction de celle-ci, et qu’il dise : « Allahummashfi 'abdaka wa saddik Rasulak (Au nom d’Allah. Ô Allah ! Guéris ton esclave et rends témoignage à ton messager.) Le faire après la Salat As-Subh (Fajr) et avant le lever du soleil. Qu’il s’y plonge trois fois, pendant trois jours. S’il n’est pas guéri en trois, alors cinq. S’il n’est pas guéri en cinq, alors sept. S’il n’est pas guéri en sept, alors neuf. Car il ne restera pas après neuf heures, avec la permission d’Allah.
Chapitre : Traiter avec des cendres
« Pendant que j’écoutais, on a demandé à Sahl bin Sa’d : « Avec quelles blessures le Messager d’Allah (SAW) ont-elles été traitées ? » Il dit : « Il n’y a personne qui le sache mieux que moi. Ali venait avec de l’eau dans son bouclier, et Fatima s’en servait pour laver son sang, et une natte était brûlée pour lui et ses plaies en étaient remplies (ses cendres). »
« La parabole du malade lorsqu’il est guéri et qu’il devient sain est celle de la grêle qui tombe du ciel dans sa pureté et sa couleur. »
Chapitre
« Lorsque l’un d’entre vous rend visite au malade, rassurez-le sur sa durée de vie. En vérité, cela ne repoussera rien, mais cela consolera son âme.
« Réjouissez-vous, car Allah a dit : « C’est mon feu que j’impose à mon serviteur pécheur comme sa part du feu. » (Hasan) Al-Hasan a dit : « Ils espéraient que la fièvre qui survenait la nuit compatirait à toute carence causée par les péchés. »