Comportement général (Kitab Al-Adab)
كتاب الأدب
Chapitre : À propos de tuer des serpents
Al-Abbas dit au Messager d’Allah (ﷺ) : « Nous voulons balayer Zamzam, mais il y a là quelques-uns de ces Jinnan, ce qui signifie de petits serpents ; alors le Messager d’Allah (ﷺ) a ordonné qu’ils soient tués.
Salim a dit : 'Abd Allah (b. 'Umar) avait l’habitude de tuer tous les serpents qu’il trouvait. Abou Lubabah ou Zaid b. al-Khattab l’a vu poursuivre un serpent. Il a dit : « Il (le Prophète) a interdit les serpents domestiques.
Le Messager d’Allah (ﷺ) a interdit de tuer les djinnan (petits serpents) qui se trouvent dans la maison, à l’exception de ceux qui ont deux stries et de celui qui a une petite queue, car ils oblitèrent la vue et provoquent des fausses couches.
Après cela, c’est-à-dire après qu’Abu Lubabah lui eut mentionné cette tradition, Ibn 'Umar trouva un serpent dans sa maison ; il ordonna à ce sujet et il fut emmené à al-Baqi'.
Après cela, je l’ai revu dans sa maison.
Muhammad ibn AbuYahya a déclaré que son père lui a dit que lui et son compagnon étaient allés à AbuSa’id al-Khudri pour lui rendre une visite malade. Il dit : « Alors nous sortîmes d’auprès de lui et rencontrâmes un de nos compagnons qui voulait aller vers lui. Nous sommes allés de l’avant et nous nous sommes assis dans la mosquée. Il est alors revenu et nous a dit qu’il avait entendu AbuSa’id al-Khudri dire : Le Messager d’Allah (ﷺ) a dit : Certains serpents sont des djinns ; Ainsi, lorsque quelqu’un voit l’un d’entre eux dans sa maison, il doit l’avertir trois fois. S’il revient, il le tuera, car c’est un démon.
Qu’est-ce qui vous arrive ? J’ai dit : Voici un serpent. Il m’a dit : qu’est-ce que tu veux ? J’ai dit : je vais le tuer. Il m’a alors montré une pièce de sa maison en face de sa chambre et a dit : Mon cousin (fils de mon oncle) était dans cette pièce. Il lui demanda la permission d’aller voir sa femme à l’occasion de la bataille des troupes (Ahzab), car il venait de se marier. Le Messager d’Allah (sur lui) lui en donna la permission et lui ordonna d’emporter son arme avec lui. Il arriva chez lui et trouva sa femme debout à la porte de la maison. Quand il l’a désignée avec la lance, elle a dit : Ne te hâte pas avant d’avoir vu ce qui m’a fait sortir. Il entra dans la maison et y trouva un vilain serpent. Il perça la lance pendant qu’elle tremblait. Il dit : Je ne sais pas lequel d’entre eux est mort le premier, l’homme ou le serpent. Son peuple s’approcha du Messager d’Allah (sur lui la paix) et lui dit : « Supplie Allah de nous ramener à la vie notre compagnon. » Il dit : Demande pardon pour ton Compagnon. Puis il dit : « À Médine, un groupe de djinns a embrassé l’Islam, donc quand tu vois l’un d’entre eux, prononce trois fois un waring et s’il te semble après cela, tue-le après trois jours.
Il devrait lui donner un avertissement trois fois. S’il lui apparaît après cela, il doit le tuer, car c’est un démon.
donnez-lui un avertissement pendant trois jours ; S’il vous apparaît après cela, alors tuez-le, car ce n’est qu’un diable.
Le Messager d’Allah (ﷺ) a été interrogé sur les serpents domestiques. Il dit : Quand tu verras l’un d’eux dans ta demeure, dis : Je t’adjure par l’alliance que Noé a faite avec toi, et je t’adjure par l’alliance que Salomon a faite avec toi de ne pas nous nuire. Ensuite, s’ils reviennent, tuez-les.
Tuez tous les serpents sauf le petit blanc qui ressemble à une baguette d’argent.
Abou Dawoud a dit : Un homme m’a dit : Un serpent blanc ne s’enroule pas dans son mouvement. Si c’est vrai, c’est un signe, si Allah le veut.
Chapitre : À propos de l’abattage des geckos
Le Messager d’Allah (que la paix soit sur lui) a ordonné de tuer un gecko, le qualifiant de petite créature nuisible.
Le Prophète (ﷺ) a dit : « Si quelqu’un tue un gecko du premier coup, tel ou tel nombre de bonnes actions sera enregistré pour lui, s’il le tue avec le deuxième coup, tel ou tel nombre de bonnes actions sera enregistré pour lui moins que le premier ; et s’il le tue du troisième coup, on lui enregistrera tel ou tel nombre de bonnes actions, moins que les premières.
Le Prophète (ﷺ) a dit : « Pour le premier coup, soixante-dix bonnes actions seront enregistrées.
Chapitre : À propos de tuer les fourmis
Un prophète s’est couché sous un arbre et il a été piqué par une fourmi. Il a ordonné concernant les bagages et ils ont été retirés de dessous. Il ordonna alors de le regarder et il fut brûlé. Allah lui révéla alors : pourquoi pas une seule fourmi ?
Une fourmi a piqué un prophète. Il ordonna de brûler une colonie de fourmis. Allah lui a révélé : parce qu’une fourmi t’a piqué, tu as fait périr une communauté qui Me glorifie.
Le Prophète (ﷺ) a interdit de tuer quatre créatures : les fourmis, les abeilles, les huppes et les éperviers.
Alors que nous étions en voyage avec le Messager d’Allah (ﷺ) et qu’il était allé se délivrer, nous avons vu une Hummarah avec deux jeunes. Nous avons pris les jeunes. Le Hummarah arriva et commença à déployer ses ailes. Alors le prophète (que la paix soit sur lui) vint et dit : « Qui a fait souffrir cette jeune fille de la perte de ses petits ? Rendez-lui ses petits. Nous vîmes aussi une fourmilière que nous avions brûlée. Il a demandé ? Qui a brûlé cela ? Nous avons répondu : oui. Il dit : « Il n’est pas convenable que quelqu’un d’autre que le seigneur du feu punisse par le feu.
Chapitre : À propos de l’abattage des grenouilles
Lorsqu’un médecin consulta le Prophète (ﷺ) au sujet de l’introduction de grenouilles en médecine, il lui interdit de les tuer.
Chapitre : En ce qui concerne les jets de pierres
Le Messager d’Allah (ﷺ) a interdit de lancer des cailloux (dans le sport) en disant : le gibier ne s’attrape pas par de tels moyens. Ni l’un ni l’autre n’est blessé par un ennemi, mais il peut parfois crever un œil ou se casser une dent.