Comportement général (Kitab Al-Adab)
كتاب الأدب
Chapitre : Concernant l’intercession
Intercédez auprès de moi, vous serez récompensés, car Allah décrète ce qu’il veut par la langue de son prophète.
Intercédez, vous serez récompensés, car je retarde volontairement une affaire pour que vous intercédiez et qu’ensuite vous soyez récompensés. Le Messager d’Allah (ﷺ) a dit : « Si tu intercessions, tu seras récompensé.
Une tradition similaire a également été transmise par Abou Moussa à partir du prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) à travers une chaîne différente de narrateurs.
Chapitre : Un homme doit commencer par son propre nom lorsqu’il écrit une lettre
Certains des enfants d’al-Ala' ibn al-Hadrami ont dit : « Al-Ala' ibn al-Hadrami était le gouverneur du Prophète (ﷺ) à al-Bahrayn, et quand il lui écrivait, il commençait par son nom gagné.
Al-Ala b. al-Hadrami a écrit au prophète (que la paix soit sur lui), et il a commencé par son nom.
Chapitre : Comment écrire à un dhimmi
Le Prophète (ﷺ) a écrit une lettre à Héraclius : « De Mohammed, le Messager d’Allah, à Hiraql (Héraclius), chef des Byzantins. Paix à ceux qui suivent les directives. Ibn Yahya a rapporté sur l’autorité d’Ibn Abbas qu’AbuSufyan lui a dit : Nous sommes alors venus voir Hiraql (Héraclius) qui nous a assis devant lui. Il demanda alors la lettre du Messager d’Allah (ﷺ). Son contenu était le suivant : « Au nom d’Allah, le Miséricordieux, le Miséricordieux, depuis Mohammed, le Messager d’Allah, jusqu’à Hiraql, chef des Byzantins. Paix à ceux qui suivent les conseils. De continuer.
Chapitre : Sur l’honneur de ses parents
Un fils ne rembourse pas ce qu’il doit à son père s’il ne l’achète et ne l’émancipe s’il le trouve esclave.
Une femme était ma femme et je l’aimais, mais Omar la haïssait. Il m’a dit : Divorce d’elle, mais j’ai refusé. Omar alla alors voir le Prophète (ﷺ) et lui en parla. Le Prophète (ﷺ) a dit : « Divorcez-la.
Abou Dawud a dit : « Aqra' signifie un serpent dont les cheveux de la tête ont été enlevés à cause du poison.
Messager d’Allah ! envers qui devrais-je faire preuve de bienveillance ? Il dit : "Ta mère, ta sœur, ton frère et l’esclave que tu as libéré et qui est ton parent, une obligation qui te convient, et un lien de parenté qui doit être uni.
L’injure d’un homme envers ses parents est l’un des péchés graves. On lui a demandé : Messager d’Allah ! Comment un homme peut-il insulter ses parents ? Il répondit : Il insulte le père d’un homme qui insulte ensuite son père, et il insulte la mère d’un homme et il insulte la sienne.
Alors que nous étions avec le Messager d’Allah ! (ﷺ) un homme des Banu Salmah vint à Lui et lui dit : « Messager d’Allah, y a-t-il encore une bonté que je puisse faire à mes parents après leur mort ? Il répondit : « Oui, vous pouvez invoquer sur eux des bénédictions, le pardon pour eux, exécuter leurs dernières instructions après leur mort, unir des liens de parenté qui dépendent d’eux et honorer leurs amis.
L’un des plus beaux actes de bonté est qu’un homme traite les amis de son père d’une manière aimable après son départ.
J’ai vu le Prophète (ﷺ) distribuer de la chair à Ji’irranah, et j’étais un garçon en ce temps-là portant l’os du chameau, et quand une femme qui s’est avancée s’est approchée du Prophète (ﷺ), il a étendu son manteau pour elle, et elle s’est assise dessus. J’ai demandé : Qui est-elle ? Les gens disaient : « C’est sa mère nourricière. »
Un jour, alors que le Messager d’Allah (ﷺ) était assis, son père adoptif s’avança. Il a étalé une partie de son vêtement et il s’est assis dessus. Alors sa mère s’avança vers lui et il étendit l’autre côté de son vêtement et elle s’assit dessus. De nouveau, son frère adoptif s’est manifesté. Le Messager d’Allah (ﷺ) se leva pour lui et le fit asseoir devant lui.
Chapitre : La vertu de celui qui prend soin d’un orphelin
Le Prophète (ﷺ) a dit : « Si quelqu’un a une fille, et ne l’enterre pas vivante, ne la méprise pas, ne lui préfère pas ses enfants (c’est-à-dire les garçons), Allah l’amènera au Paradis. Othman n’a pas mentionné les « enfants mâles ».
Le Prophète (ﷺ) a dit : « Si quelqu’un prend soin de trois filles, les discipline, les marie et leur fait du bien, il ira au Paradis.
« trois sœurs, ou trois filles, ou deux filles, ou deux sœurs ».
Le Prophète (ﷺ) a dit : « Moi et une femme dont les joues sont devenues noires, le Jour de la Résurrection, je serai comme ces deux-là (montrant le majeur et l’index), c’est-à-dire une femme de rang et de beauté qui a été privée de son mari et qui se consacre à ses enfants orphelins de père jusqu’à ce qu’ils se séparent ou meurent.
Chapitre : Celui qui s’occupe d’un orphelin
Sahl (b. Sa’d) a rapporté que le prophète (que la paix soit sur lui) a dit : Moi et celui qui prend la responsabilité d’un orphelin serons ainsi au Paradis, et il a joint son majeur et son index.