Comportement général (Kitab Al-Adab)
كتاب الأدب
Chapitre : Demande d’autorisation d’entrer
Un homme jeta un coup d’œil dans l’appartement du prophète (que la paix soit sur lui). Le prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) s’est levé en prenant une pointe de flèche ou des pointes de flèches. Il a dit : « Je m’imagine encore en train de regarder le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah sur lui) lorsqu’il cherchait à le transpercer.
Le Prophète (ﷺ) a dit : « Si quelqu’un jette un coup d’œil dans la maison d’un peuple sans leur permission et qu’il lui crève l’œil, aucune responsabilité n’est encourue pour son œil.
Le Prophète (ﷺ) a dit : « Quand on jette un coup d’œil à l’intérieur de la maison, alors il n’y a pas (besoin de) permission.
Un homme est venu. La version d’Uthman est la suivante : Sa’d ibn AbuWaqqas est venu. Il se tint à la porte. La version d’Uthman est la suivante : (Il se tenait debout) face à la porte. Le Prophète (ﷺ) lui dit : « Éloigne-toi de là, (tiens-toi) de ce côté ou de ce côté-là. Demander la permission est destiné à échapper au regard d’un œil.
Une tradition similaire a également été transmise par Talhah b. Musarrif d’un homme de Sa’d du prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) à travers une autre chaîne de narrateurs.
Chapitre : Comment demander l’autorisation
Safwan ibn Umayyah l’envoya avec du lait, une jeune gazelle et quelques petits concombres au Messager d’Allah (ﷺ) alors qu’il se trouvait dans la partie supérieure de La Mecque. Je suis entré mais je n’ai pas fait de salutation. Il a dit : « Retourne et dis : « Que la paix soit sur toi » ! Cela s’est produit après Safwan ibn Umayyah et a embrassé l’Islam. Amr a dit : « Ibn Safwan m’a dit tout cela sur l’autorité de Kaladah ibn Hanbal, et il n’a pas dit : Je l’ai entendu de lui.
Abou Dawud a dit : Yahya b. Habib a dit : Umayyah b. Safwan. Il n’a pas dit : J’ai eu des nouvelles de Kaladah b. Hanbal. Yahya a également dit : 'Amr b. 'Abd Allah b. Safwan lui a dit que Kaladah b. al-Hanbal lui avait dit.
Un homme des Banu Amir a raconté qu’il a demandé au Prophète (ﷺ) la permission (d’entrer dans la maison) lorsqu’il était dans la maison, en disant : Puis-je entrer ? Le Prophète (ﷺ) dit à son serviteur : « Va vers cet homme et apprends-lui comment demander la permission d’entrer dans la maison, et dis-lui : « Dis : Paix et bénédictions d’Allah soient sur toi. Puis-je entrer ? L’homme l’entendit et dit : Que la paix soit sur vous ! Puis-je participer ? Le Prophète (ﷺ) le lui permit et il entra.
De même, Musaddad nous l’a transmis en disant qu’Abou 'Awanah nous l’a raconté de Mansur. Il n’a pas dit : « un homme des Banu 'Amir ».
Je l’ai entendu et j’ai dit : Que la paix soit sur vous. Puis-je entrer ?
Chapitre : Combien de fois doit-on dire salam lorsqu’on demande l’autorisation d’entrer
J’étais assis à l’une des réunions des Ansar. Abou Moussa arriva terrifié. Nous lui avons demandé ; Qu’est-ce qui vous terrifie ? Il répondit : « Omar m’a envoyé chercher ; Je suis donc allé le voir et lui ai demandé la permission trois fois, mais il ne m’a pas permis (d’entrer), alors je suis revenu. Il a demandé ; Qu’est-ce qui vous a empêché de venir à moi ? J’ai répondu : je suis venu et j’ai demandé la permission trois fois, mais elle ne m’a pas été accordée (alors je suis revenu). Le Messager d’Allah (sur lui) a dit : « Si l’un d’entre vous demande trois fois la permission et qu’elle ne lui est pas accordée, il doit s’en aller. Il ('Umar') a dit ; en établir la preuve. Alors Abou Saïd dit : « Le plus jeune d’entre les gens t’accompagnera. » Alors Abou Saïd s’est levé avec lui et a témoigné.
Abou Moussa demande la permission, al-Ash’ari demande la permission, et 'Abd Allah b. Qais demande la permission, mais elle ne lui a pas été accordée. Il s’en alla donc et Omar l’envoya chercher en disant : Qu’est-ce que tu as ramené ? Il répondit : « Le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) a dit : « Si l’un d’entre vous demande trois fois la permission et qu’elle ne lui est pas accordée, il doit s’en aller. Il a dit : Établissez-en la preuve. Il s’en alla, revint et dit : C’est Ubayy. Ubayy a dit : « Omar, ne sois pas une agonie pour les Compagnons du Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui). 'Umar a dit : « Je ne serai pas une agonie pour les Compagnons du Messager d’Allah (ﷺ).
Abou Moussa demanda à 'Umar la permission d’entrer dans la maison. Cette version veut qu’il soit allé avec Abu Sa’ld qui en a témoigné. Il a dit : Cette pratique du Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah sur lui) m’est-elle restée cachée ? Mon engagement dans la transaction sur le marché m’en a fait oublier. Maintenant, faites-moi la salutation que vous voulez ; et ne demandez pas la permission.
'Umar dit à Abou Moussa : « Je ne te blâme pas, mais la question de la transmission d’une tradition du Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) est sérieuse.
'Umar dit à Abd Moussa : « Je ne te blâme pas, mais j’ai peur que les gens ne parlent négligemment du Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui). »
Le Messager d’Allah (ﷺ) est venu nous rendre visite dans notre maison et a dit : « Que la paix et la miséricorde d’Allah soient sur vous ! » Sa’d lui rendit la salutation d’un ton plus bas.
Qays dit : « J’ai dit : « N’accordes-tu pas la permission au Messager d’Allah (ﷺ) d’entrer ?
Il dit : « Laisse-le, il nous saluera beaucoup. » Le Messager d’Allah (ﷺ) a alors dit : « Que la paix et la miséricorde d’Allah soient sur vous ! Sa’d répondit de nouveau d’un ton plus bas. Le Messager d’Allah (ﷺ) a de nouveau dit : « Que la paix et la miséricorde d’Allah soient sur vous ! » Alors le Messager d’Allah (ﷺ) s’en alla.
Sa’d alla le chercher et lui dit : « Messager d’Allah ! J’ai entendu vos salutations et j’ai répondu d’un ton plus bas afin que vous puissiez nous saluer beaucoup. Le Messager d’Allah (ﷺ) revint avec lui. Sa’d lui offrit alors de lui préparer l’eau du bain, et il prit un bain. Il lui donna alors une longue cape teintée de safran ou de guerres et il s’enveloppa dedans.
Le Messager d’Allah (ﷺ) leva alors les mains et dit : « Ô Allah, accorde Tes bénédictions et Ta miséricorde à la famille de Sa’d ibn Ubadah ! Le Messager d’Allah (ﷺ) partagea ensuite leurs repas.
Lorsqu’il avait l’intention de revenir, Sa’d amena près de lui un âne recouvert d’une couverture. Le Messager d’Allah (ﷺ) y monta.
Sa’d dit : « Ô Qays, accompagne le Messager d’Allah. » Qays a dit : « Le Messager d’Allah (ﷺ) m’a dit : Chevauche. Mais j’ai refusé. Il dit encore : « Montez à cheval ou allez-vous-en. » Il a dit : « Alors je suis parti.
Hisham a dit : AbuMarwan (transmis) de Muhammad ibn AbdurRahman ibn As’ad ibn Zurarah.
Abou Dawoud a dit : 'Umar b. 'Abd al-Wahid et Ibn Sama’ah l’ont transmis d’al-Awzai' sous forme mursale (le ling du Compagnon étant manquant), et ils n’ont pas mentionné Qais b. Sa’d.
Lorsque le Messager d’Allah (ﷺ) s’est présenté à la porte de certaines personnes, il ne l’a pas regardée en face, mais a tourné vers le coin droit ou gauche, et a dit : « Que la paix soit sur vous ! Que la paix soit sur vous ! C’était parce qu’il n’y avait pas de rideaux sur les portes de la maison à ce moment-là.
Chapitre : Demander la permission d’entrer en frappant
J’ai frappé à la porte. Il a demandé : qui est là ? Je répondis : c’est moi. il dit : moi, comme s’il le désapprouvait.
Je suis sorti avec le Messager d’Allah (ﷺ) jusqu’à ce que j’entre dans un jardin, il a dit : « Ferme la porte. La porte fut alors fermée. J’ai alors dit : Qui est là ? Il a ensuite raconté le reste de la tradition.
Abou Dawoud a dit : « C’est-à-dire la tradition d’Abou Moussa al-Ash’ari. Dans cette version, il dit : « Il frappa alors à la porte. »
Chapitre : Si un homme est invité, cela est considéré comme une permission d’entrer
Le Prophète (ﷺ) a dit : Le messager d’un homme envoyé à un autre indique sa permission d’entrer.
Le Prophète (ﷺ) a dit : « Lorsque l’un de vous est invité à prendre des repas et qu’il vient avec le messager, cela lui sert de permission d’entrer.
Abou Ali al-Lu’lu a dit : « J’ai entendu Abou Dawud dire : Qatadah n’a rien entendu d’Abou Rafi. »